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Français Mise à jour : 2025 04 17
Le contenu de ce site est donné à titre informatif, dans le cadre strict de la recherche exploratoire ; les données n'ont pas été évaluées par les agences officielles, toute utilisation autre qu'à but culturel et de recherche et faite par des personnes compétentes et averties, ne peut l'être que sous la seule et totale responsabilité de leur auteur.
Nous déclinons toute responsabilité quant à un usage autre. De même, toute personne se sachant atteinte d'une maladie, ou pensant l'être, se doit de contacter son médecin et ne doit en aucun cas suspendre son traitement ou le modifier de quelque manière que ce soit.
L'information "pure".
Contre vents et marées, l’homéopathie poursuit sa carrière depuis deux siècles malgré les obstacles et les contraintes que les Laboratoires pharmaceutiques lui imposent pour la brider.
Ce n’est que depuis la thèse d'une élève du Dr J. Benveniste, que l’homéopathie a pris de nouvelles « racines ». C’est aussi à la suite d'autres travaux que J. Benveniste a entrepris l’enregistrement numérique de substances chimiques. Ces travaux ont été repris avec sérieux par le Pr Luc Montagnier.
La notion d’information « pure », non physico-chimique, conduit aux remèdes numériques. Cette information émane de toutes les substances médicinales ; le remède homéopathique en haute dilution en est le meilleur exemple : la substance pharmacologique originelle en est absente.
Pour notre part, nous lisons distinctement le Pouls de P. Nogier. D’ailleurs, bien des praticiens pourraient se perfectionner dans cet examen somme toute clinique puisqu’il s’agit d’une palpation. Ce pouls est un instrument biologique à nul autre pareil ; aucun appareil de mesure physique ne peut le remplacer. Il a grandement fait défaut à nos deux premiers chercheurs chercheurs et l’IA n’est pas apte à remplacer l’acuité tactile. .
Promoteur du site www.pulsologie.com. , j’ai acquis assez d’expérience pour mettre le pouls de Nogier au service de l’information médicinale.
Les remèdes numériques, de ce nouveau site, sont à la fois l’aboutissement pratique du site de Pulsologie et de ses nombreuses mises à jour.
Les champs informatifs de ces remèdes sont transférables, via l’écran de l’ordinateur, vers le patient qui s’y expose. Transférables aussi via des substances porteuses d’une certaine mémoire, les substances inférables. L’eau ou le granule homéopathique fait de saccharose-lactose (85/15 pour cent) sont des substances inférables.
Les champs informatifs de ces substances sont aussi accessibles aux chercheurs.
Les remèdes numérisés sont très nombreux et forment diverses collections qui sont en libre accès.
Les produits homéopathiques sont présentés sous deux forme : en moyenne dilution (MD) 12CH et, pour certains remèdes, les polychrestes, en très Haute Dilution (THD) 1000M-CH (100 millions de H). Ces derniers ont été insérés dans le site : www.soins-numerises.com
Les Motchamps
Ces Motchamps constituent la nouveauté.
Dans l’Accueil de « soins-numerises.com », nous avons dit, que les champs informatifs procèdent de la Vie, mais aussi du Verbe et de chaque "Mot".
Ceci est une évolution, une mutation, une conscientisation de notre recherche.
Du point central zoomé vers le Mot en son entier.
Nos précédents Biofilms émanaient d’un point central zoomé.
Ce point représentait le « noyau » de la Bande passante audio ou de toute photo d’image pathologique. Il était repéré avec un détecteur particulier. Son amplification (zoom) était censée marginaliser l’image environnante au profit de ce noyau. Et il m’apporta des résultats thérapeutiques non négligeables mais assez fluctuants……
Puis nous sommes passés au Mot bien cadré. La photo d’une rougeole par exemple fut remplacée par le mot « Rougeole ». Avec étonnement nous avons constaté que ce mot avait lui aussi un centre et ce point central pouvait être exploité comme ci-dessus. Nous avons seulement été intrigués de noter que ce foyer, point central, résonnait bien au survol par un détecteur mais qu’assez souvent, pour d’autres Mots, il résonnait en halo comme en regard d’un point en creux (pseudo-résonance)…
Je fus amené à m’interroger sur la convenance de mes stylo-détecteurs, et fus conduit vers un détecteur naturel : la pointe de mon Médius .
Détecteur biologique IMPORTANT : le Médius
J’en revins alors au détecteur biologique que j’avais décrit, il y a longtemps, à propos de la division en damier de 32 champs cutanés du corps. Le Médius de ma main D a cette capacité, à son extrémité, de résumer les 4 champs basiques du damier crânien ; il en va de même du Médius G et des médius des orteils.
Les Damiers
Les capacités du médius, liées à sa distribution en 4 champs cutanés, m’invitèrent à une extension de cette idée de champs cutanés au profit des Mots de maladies ou de médicament.
Le damier à 16 champs BN1 et BN2
Il tire donc son origine du fait que la face antérieure du corps est divisée en 16 champs cutanés.
Ces damiers sont BN : ce sont les deux cases noire-blanche du BAS qui le définissent.
Ces damiers n’oscillent presque pas, ils sont globalement fixes et silencieux, via la pointe du médius ; mais ceci représente une exception si le nez du Pulsologue est parfaitement dans le plan de l’axe vertical du damier ;
Si son nez est légèrement à D ou à G de l’axe vertical, il capte une petite oscillation (entre 4 et 6 pulsations)
Mais s’il est franchement à D ou à G, ou si le damier est latéralisé à G (ou à D) de l’écran, la fixité est rigoureuse ; le Pulsologue n’interfère plus via ses propres champs cutanés.
Nous évoquons donc l’hypothèse qu’il y a congruence entre ces 16 cases et les 16 champs cutanés antérieurs du corps du Pulsologue qui fait face à l’écran du PC.
L’étude de ce damier latéralisé est très intéressante.
Latéralisé à G de l’écran, selon mon habitude, tout damier d’une maladie ou d’une substance médicinale se comporte de deux façons spontanées : ou il déclenche des pulsations fortes au pouls (P en travers) ou bien il reste silencieux.
Ce comportement est le même si le damier est latéralisé à D de l’écran.
1/ Le pouls se manifeste spontanément, sans l’intermédiaire du médius ou d’un détecteur.
La forme silencieuse est transformée en forme pulsante par simple inversion de couleur. Le damier pulsant spontané est notre principal critère de définition. Les damiers des Pathologies ou des médicaments se classent donc en BN et NB pulsants.
2/ Faisons maintenant appel au Médius. Positionné au centre du croisement du damier, le médius fait réagir le pouls de deux manières : ou bien une forte pulsation est ressentie au centre : elle caractérise le damier BN 1 tel « Codenfan » ou le damier NB 1 ; ou bien la pulsation est ressentie sur tout le damier sauf au centre, ceci définit les damiers BN 2 tel « Symbicort » ou le damier NB 2.
Finalement, les substances biologiques paraissent se répartir en 4 groupes.
Le damier à 16 champs, BN Global
Il s’agit du
troisième type découvert du damier. Celui-ci n’est ni BN1 ni BN2 mais BN « global ». Le médius en survol fait résonner à la fois
le centre, le damier et la périphérie du damier.
Ce genre de damier caractérise très souvent les meilleurs médicaments d’une spécialité ainsi que les remèdes en THD, (très haute dilution homéopathique) en 1000M-CH.
Naturellement, il existe aussi 3 sortes de damiers opposés, NB1, NB2, NB global.
Au total, les remèdes se groupent en 6 groupes.
LE MALADE ET SES 2 REPRÉSENTATIONS
Il peut se manifester via sa photo (tête et cou) envoyée par mail ou WhatsApp.
Il est aussi possible de le mettre en mot : « Prénom-N. »
Prénom-N.
Pour être en harmonie avec les listes de médicaments en damier, ce Prénom-N. doit subir, via Paint, une « mise en damier » lui-même et de manière cohérente en 16 cases :
Le Prénom se présente généralement sous forme NB.
La Photo
La photo directe « visage-cou » est naturellement sous forme de 4 champs basiques, elle est du type NB.
Le malade réel
Il n’a pas sa place dans nos tests devant écran car il n’est pas en 2D mais en 3D, ce qui favoriserait des interférences avec le Pulsologue. En revanche il trouve sa place dans le contrôle du résultat des tests (pendant l’exposition).
Le malade Audio fait exception
Le malade peut en effet vous téléphoner. Et le haut-parleur de celui-ci émet un message Mono en 1D. Tant qu’il est au bout du fil, même sans parler, sa présence devant son microphone suffit à vous transmettre l’information biologique, pathologique de tout son être. C’est assez prodigieux. En cette circonstance, le Pulsologue 3D n’interfère pas.
Il devient ainsi possible de mesurer à distance l’effet sur le pouls d’un traitement.
Spécificité de la résonance entre une photo et une substance
Spécificité du Mot en soi : il peut être composé : « générique-spécialité ». Si jamais il y a erreur sur l’un d’eux, mésalliance, le médius ne perçoit plus le point central.
Exemple:
Ce mixage Ventoline-Bécotide est une sorte de chimère. Le survol du médius induit des pulsations TTTT sur toute sa surface. inouï !
En revanche, le Nom générique ou celui d’une spécialité médicinale résonne parfaitement avec la photo des gélules du médicament, voire la photo de son emballage qui porte son Nom.
Expérience simple : afficher sur le PC le Nom du médicament à G de l’écran (Salbutamol) et la photo du même médicament à D (Ventoline), sans contact des images ; le survol à distance avec le Médius D révèle la forte résonance qui unit les deux images ; si l’une d’elles est retirée de l’écran, toute résonance au pouls disparaît ; elle s’évanouit, aussi, quand le Nom ne correspond pas à l’image.
Comment procéder avec le PC ?
Avertissement :Je dispose d’un PC dont le clavier et l’écran sont filaires. Aucun test avec une souris ou un clavier sans fil de connexion avec le PC n’a été expérimenté jusqu'ici.
Nous savons que le Nom du malade en 16 cases est inscrit – via Paint – sur un côté de l’écran.
On Choisit la
liste des substances médicinales selon le type de maladie (la spécialité). La liste des médicaments est affichée de manière controlatérale à l’écran. Aucun contact ne doit avoir lieu entre les deux dossiers (Prénom ou photo du malade à G / liste des médicaments au centre D).
De plus, le dossier du malade doit être centrifugé à l’extrême D, en bordure d’écran, en dehors de la liste médicinale pour ne pas interférer dans la résonance centrale.
Le choix du stylo détecteur
1/
Le stylo universel S.T.A.R. et son alter ego, inversé de couleur, sont devenus des références majeures. Le premier sert de détecteur pour les malades masculins et le second pour les féminins.
2/ Le stylo « Info-1et2 » est nouveau. Il permet les tests sur les Pathologies ou les remèdes BN ou NB globaux.
3/ Il existe d’autres stylos réservés aux Pulsologues qui permettent de cibler les damiers des groupes BN (1 et 2) et NB, soit pour cibler les groupes 1 (BN ou NB) et 2 (BN ou NB)… ces 4 stylos sont plus maniables que le médius. Ils sont indispensables pour contrôler les classifications en 4 groupes en vérifiant l’absence absolue d’intrus issus d’un damier mal défini.
Les substances en lice sont survolées avec la pointe du stylo.
Réalisation du stylo induit : le stylo est un simple crayon plastifié, tenu de la main droite, qui, placé devant le Motfilm ou l’image du S.T.A.R., se charge de l’information après une minute d’exposition. Cette induction doit être renouvelée une fois par jour ou tous les deux jours selon l’usage.
Ces différents stylos sont repérables via les différentes couleurs des plastiques.
Mode d’emploi des remedes-numeriques
Élection des remèdes en l’absence du patient
Remarque : le praticien ne peut pas tester des remèdes directement sur le malade en 3D car, dans ce cas, des interférences informatives se produiraient avec lui-même en 3D.
Si le Pulsologue recherche un remède pour lui-même, il doit entrer lui aussi son Prénom-N en 2D, par cohérence, pour respecter la liste des pathologies en 2D. Sa photo en 2D est aussi cohérente.
Le mystère du Prénom du malade
Comme nous venons de le voir, le malade peut être remplacé autant par sa photo que par son « Prénom-Nom » en 16 cases NB.
Ce qui interpelle vivement, c’est ceci : le Prénom-N. n’est pas daté ! Tout se passe comme si le temps n’existait pas ! A trois mois d’écart un même patient peut être porteur de deux affections différentes ; or les remèdes élus seront en phase avec l’état sanitaire actualisé du patient représenté par son Prénom-N sur lequel le Pulsologie se concentre. Puisqu’aucune photo ne peut témoigner des affections passées, il reste possible malgré tout de revenir en arrière en ajoutant sur le dossier de la photo ou du prénom, la date antérieure de l’ex-pathologie
Elle va à l’encontre de la démarche scientifique qui exige la répétitivité de toute expérience et la référence au temps.
Ceci n’est pas une expérience de pensée ; j’’évoquerais plutôt une expérience de conscience, car celle-ci ne peut réussir que si le porteur du Prénom-N (ou sa photo) est vivant : en effet le damier du Prénom (à 4 ou à 16 champs) d’une personne décédée reste muet en regard du médius ou de la latéralisation, à G de l’écran, de son damier et n’entre en aucune résonance pathologique ou médicinale ! Ainsi la cause d’un décès n’est pas accessible.
A contrario, la photo ou le damier d’une personne vivante est apte à toute investigation pulsologique, même si cette personne vit aux antipodes de la terre.
Bref, on peut toucher du doigt la Transcendance, donc les deux Mondes.
La liste des médicaments qui sont envisagés
L’élection repose sur les listes des substances médicinales (à 16 cases) proposées dans un domaine particulier (Rhumato par exemple) : BN et NB, BN 1 et BN 2, NB 1 et NB 2. Chaque liste est souvent analysée du côté droit de l’écran.
On connaît la réaction de « contact-Ecart » : un médicament tenu en main, qui réagit au contact (du thorax) est nocif, et s’il ne réagit qu’à distance, bras allongé, il est favorable.
Dans chaque spécialité, les listes comportent de très nombreuses substances médicinales. Chaque liste est affichée d’un côté de l’écran et la photo est de l’autre côté, à distance et même
zoomée en petit, ce qui accroît artificiellement la distance. Cette distance permet de dégager le
remède favorable.
A contrario, les
Allergènes sont nocifs.
Leurs Motfilms visent donc surtout
à établir des diagnostics.
La photo du malade et la liste d’allergènes sont
en contact ou en légère superposition sur l’écran ; on retrouve la réaction de contact et le dépistage des allergisants les plus préjudiciables au malade.
De l’usage du détecteur.
1/ Avec le
détecteur-stylo S.T.A.R. 1, on survole les diverses « médecines » de la spécialité incriminée pour
cibler le remède auquel aspire le malade.
Il faut bien s’entendre sur le type de résonance qui se manifeste.
Lors de la Réaction d’écart, le remède n’est « favorable » que si le pouls réagit après l’écartement d’un médicament loin du corps ; à rebours, au contact, il doit être parfaitement silencieux.
Ce phénomène se manifeste ainsi lors des tests : le survol de la liste de médicaments, proche de la photo et via le stylo S.T.A.R, fait réagir le pouls de cette manière : au cœur d’une
liste agitée de pulsations, se révèle une zone plus calme et au centre de cette zone se trouve une maladie ou un remède totalement silencieux, c’est lui l’élu, c’est lui le
remède qui se manifeste « en creux », c’est un reflet de la réaction l’écart. Ce silence se perpétue.
2/ Avec le détecteur-stylo « Info-1et2 » dédié aux Motfilms globaux BN et NB.
Ces Motfilms représentent des information globales NON Fixes : ces remèdes, oscillants purs et durs, sont les seuls à avoir résisté à la notion de fixité, qui a été le fil rouge de toutes nos recherches.
En général ils se manifestent aussi en creux initialement, mais après 32 pulsations, ils répondent en relief, pendant aussi 32 P, puis retour en creux. Ceci signe leur nature oscillante pure.
Stylo détecteur pour femme malade.
Le stylo universel S.T.A.R.
inversé de couleur est ici la référence pour déceler les résonances.
Cependant, même stylo « Info-1et2 » pour les substances ou les pathologies non fixes.
Particularismes
Les intoxications phytosanitaires
Pour le malade intoxiqué ou l’agriculteur imprudent, ce n’est pas le produit brut, même à l’état de Motfilm qui peut le soulager, mais sa forme « Homéopathique en THD »; cet état en THD élimine la face toxique du phytosanitaire. On trouve les principaux phytosanitaires en THD en « soins-numerises.com » /20.
Expo au Motfilm 1000M-CH en format réduit( zoomé (-).
Une exposition des plantes à un Motfilm du produit phytosanitaire brut envisagé serait-elle plus souhaitable que l’application de ces réelles substances chimiques ? C’est une question pour laquelle nous n’avons aucune réponse expérimentale. Quoi qu’il en soit ces produits phytosanitaires à l’état brut ne sont pas proposés sur nos sites de soins ni de remèdes ; mais ils sont disponibles pour ceux que cela intéresse.
Les Virus
Ils sont souvent en cause, ils initient bien des maladies.
Diagnostic. Le premier virus qui résonne est généralement le fautif car il pulse en travers en continu « au contact » du stylo. Le procédé peut être amplifié en faisant que les deux dossiers, malade et liste virale se contactent, se chevauchent sur l’écran.
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Prévention. Le Motfilm d’un virus peut avoir la capacité d’informer un sujet sain et, via l’expo, de le « vacciner » :
action préventive en période de grippe.
Une maladie virale ne peut être contrée, ni par le virus causal modifié, ni par d’autres virus.
Du point de vue thérapeutique. Seule la voie homéopathique est possible (Influenzinum 9CH).
Le virus causal peut être modifié : « Virus-x-30CH ».
Certains virus nécessitent une THD : de nombreux mutants du Coronavirus exigent une dilution à 1000M-CH, ex : Coronavirus-omicron-Mixte-BJ1-BA2.75 1000M CH.
Agents pathogènes multiples des allergies
Avouons que le domaine des
allergies est très vaste et très complexe. En cas d’asthme d’été, de multiples pollinoses peuvent s'associer et l’on ignore les Noms des composants.
Il en va de même des intolérances alimentaires issues des plats cuisinés de la grande distribution. Cette intolérance bénéficiera de l’exposition au film de Labradorite dépolluante (en tête de toute les rubriques).
Le recours à l’homéopathie va de soi et en THD pour certaine allergènes. Cette étude est en cours. Pour certaines pollinoses (Ambroisie) le masque est parfois le seul moyen de filtrer les pollens en période critique. De même pour le boulanger qui devient allergique à la farine : il doit changer de métier.
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L’Exposition thérapeutique
Le Motfilm Remède, adapté au malade, s’affiche de manière visuelle au centre de l'écran.
Il est statique, immobile ; il envoie, via les champs EM porteurs de l’écran, une information spécifique.
Pour chaque médicament ou principe médicinal, un Motfilm est proposé qui cible le Malade atteint.
Plusieurs Motfilms de substances médicinales sont souvent nécessaires (cas du Covid). Infectiologie et antibiotiques ; complications Cardio-vasculaires, Système nerveux central, Rhumato.
Dès le début de l'exposition le pouls bat fortement (si le Motfilm est bien ajusté, opportun). Pendant la durée d’imprégnation de l’organisme, de forts battements du pouls se manifestent ; quand le pouls est enfin calmé, l’expo peut être arrêtée.
En pratique, le malade se place devant l’écran. Devant chaque Motfilm, il s’expose une ou deux fois par jour, puis 30 secondes.
Si aucune amélioration clinique ne se produit à l’issue d’une cure de cinq jours, on peut tout suspendre, le Motfilm n’est pas adapté
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La thérapie surveillée par le Pulsologue.
Surr le plan thérapeutique, le praticien peut évaluer, sur son propre pouls, l’effet du Motfilm sur le malade en 3D et sa durée informative.
Son propre pouls décèle par la force et le nombre de ses battements la justesse de l’indication du remède; ceci suppose que le praticien est à peu près neutre, qu’il n’interfère que peu avec son patient ; cela étant, si le Motfilm est très indiqué, très propice au malade, la présence du praticien est négligeable..
Tout praticien sachant prendre le pouls radial est apte à apprécier la force des pulsations.
Tout médecin évoquant une thérapie peut contrôler par là même son intuition.
Thérapeute non Pulsologue
S’il envisage un éventuel médicament utile, il peut le trouver via la fenêtre de recherche.
Il s’oriente alors vers celui-ci et y expose son patient. Et si le pouls bat avec force, il a la preuve que son intuition était bonne. Ces forts battements doivent durer une demi-minute pour que ce médicament soit bien ciblé ; s’ils ne durent que six à 10 secondes, le remède est secondaire, accessoire.
Principe de convenance
Il serait hautement préjudiciable et peu fiable d’utiliser des remèdes oncologiques pour traiter un cancer sans l’aval d’un Pulsologue éprouvé qui pourrait orienter le choix thérapeutique.
Toutefois l’Oncologue sera hostile à toute suggestion thérapeutique, étant assujetti aux protocoles qui lui sont imposés….
Il va de soi que les pathologies oncologiques (cancers) sont peu de notre ressort ; nous osons cependant proposer, sur le site « remedes-numeriques.com » des « Motfilms » de nombreux médicaments oncologiques afin de pouvoir choisir, via le pouls, les remèdes les mieux ciblés, les plus adaptés pour l'individu atteint, avant de passer à la chimiothérapie réelle.
Cette approche pourrait-elle se concevoir dans le cadre d’un Staff ? Elle n’a aucune chance de voir le jour, les protocoles internationaux ayant le soutien des laboratoires pharmaceutiques ont une approche statistique et non individuelle ; scientifique et non conscientisée.
En revanche, nous ne pouvons qu’inciter les malades souffrant de troubles fonctionnels intermittents à expérimenter ces Mots-remèdes dès lors qu’ils savent d’expérience ce qui leur convient.
Ces remèdes peuvent aussi pallier les médicaments réels en rupture de stock.
La fenêtre, en haut à gauche, permet de trouver immédiatement la substance recherchée.
Certains anciens remèdes, mis sur la touche pour éteindre toute concurrence commerciale, peuvent ici être retrouvés.
C’est le cas de « Eucalyptine le Brun injectable » qui, générateur d’abcès de fixation a minima, très prescrit dans les années 1960 à 70, faisait trop d’ombre aux antibiotiques.
Les Remèdes rétablissent l’équilibre des malades en contrant leur déséquilibre biologique. Certes dans les cas chroniques, la nature pathologique reprend ses droits et une nouvelle exposition aux Motfilms appropriés s’impose.
« Guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours » a dit Ambroise Paré. C’est ce que nous essayons de faire.
Grâce aux Motfilms pouvons-nous dire comme Lamartine « Objets inanimés avez-vous donc une âme ? » Nous nous contenterons de dire qu’ils ont surtout une Ame informative et que c’est vers celle-ci que nous nous empressons.
Grâce à la Pulsologie, via l’électronique, nous sommes passés de la Science dure à la l’approche conscientisée de la Vie.
Je serais bien présomptueux de ne pas associer au succès de cette recherche mes amis D.C. et A.G. auxquels je rends un hommage vif et mérité.
J-C T
Home : Digital remedies
Informative Biofields transferred by the PC screen
English Last updated: 2025 04 22
The content of this site is given for informational purposes, within the strict framework of exploratory research; The data have not been evaluated by official agencies, any use other than for cultural and research purposes and made by competent and knowledgeable people, can only be evaluated under the sole and total responsibility of their author.
We accept no liability for any other use. Similarly, anyone who knows they have a disease, or who thinks they have one, must contact their doctor and must not suspend their treatment or modify it in any way whatsoever.
"Pure" information.
Against all odds, homeopathy has continued its career for two centuries despite the obstacles and constraints imposed on it by pharmaceutical laboratories to curb it.
It is only since the thesis of a student of Dr. J. Benveniste, that homeopathy has taken on new "roots". It was also as a result of other work that J. Benveniste undertook the digital recording of chemical substances. This work was taken up by Professor Luc Montagnier.
The notion of "pure" information, not physico-chemical, leads to digital remedies. This information comes from all medicinal substances; The best example of this is the homeopathic remedy in high dilution: the original pharmacological substance is absent.
For our part, we read distinctly the
Pulse of P. Nogier. Moreover, many practitioners could improve their skills in this examination, which is all in all clinical, since it is a palpation. This pulse is a biological instrument like no other; no physical measuring device can replace it. It was greatly lacking in our first two researchers and AI is not a substitute for tactile acuity.
As the promoter of the www.pulsologie.com. site, I have acquired enough experience to put Nogier's pulse at the service of medicinal information.
The
digital remedies of this new site are the practical culmination of the Pulsologie site and its many updates. The
information fields of these remedies are transferable, via the computer screen, to the patient who is exposed to them. They can also be transferred via substances that carry a certain memory, the inferior substances. Water or homeopathic granules made of sucrose-lactose (85/15 percent) are inferable substances. The information fields of these substances are also accessible to researchers.
There are many digitized remedies et forment diverses collections qui sont en libre accès.
Homeopathic products are presented in two forms: on average dilution (MD)
12CH and, for some remedies, polychrests, in very high dilution (THD)
1000M-CH (100 million H). These have been inserted in the site: www.soins-numerises.com
.
"Motchamp" or Word Fields
These Motchamps are the novelty
In the Reception of "soins-numerises.com" we said that the informative fields proceed from Life, but also from the Word and from each WORD".
This is an evolution, a mutation, an awareness of our research.
From the center point zoomed in to the Word in its entirety
Our previous Biofilms emanated from a zoomed-in central point.
This point represented the "core " of the Audio Bandwidth or any pathological image photo. He was spotted with a particular detector. Its amplification (zoom) was supposed to marginalize the surrounding image in favor of this nucleus. And he brought me encouraging but quite fluctuating therapeutic results...
Then we moved on to the well-framed Word. The photo of a measles, for example, was replaced by the word "Measles". With astonishment we found that this word also had a focus that could be exploited as above. We were only intrigued to note that this focus, the central point, did resonate when a detector flew over it, but that quite often, for other words, the resonance was "halo" as if in relation to a hollow point (pseudo-resonance)...
I was led to question the propriety of my detector pens, and was led to a natural detector: the tip of my Medius..
IMPORTANT biological detector: the Médius (the middle-finger).
I then came back to the biological detector that I had described, a long time ago, about the checkerboard division of 32 skin fields of the body. The Medius of my hand D (R) has this ability, at its extremity, to summarize the 4 basic fields of the cranial checkerboard ; the same is true of the Medius G (L) and the medial toes.
The Checkerboards
The capacities of the medium, linked to its distribution in 4 skin fields, invited me to extend this idea of skin fields to the benefit of the words of diseases or medicine.
The 16-field checkerboard BN1 and BN2 (WB1 and WB2)
It therefore originates from the fact that the anterior surface of the body is divided into 16 skin fields.
These checkerboards are BN : it is the two black-white square at the bottom that define it.
These checkerboards hardly oscillate, they are generally fixed and silent, via the tip of the middle finger ; but this represents an exception if the nose of the Pulsologist is perfectly in the plane of the vertical axis of the checkerboard;
If his nose is slightly R or L from the vertical axis, he picks up a small oscillation (between 4 and 6 beats)
But if it is frankly at R or L, or if the checkerboard is lateralized to L (or R) of the screen, the fixity is rigorous; the Pulsologist no longer interferes via his own skin fields.
We therefore evoke the hypothesis that there is congruence between these 16 boxes and the 16 anterior skin fields of the body of the Pulsologist facing the PC screen.
The study of this lateralized checkerboard is very interesting.
Lateralized to G of the screen, as I usually do, any checkerboard of a disease or a medicinal substance behaves in two spontaneous ways: either it triggers
strong pulsations in the pulse (P across) or it remains silent.
This behavior is the same if the checkerboard is lateralized to D of the screen.
1/ The pulse manifests itself spontaneously,
without the intermediary of the middle finger or a detector.
The silent form is transformed into a pulsating form by simply inverting the colour. The
spontaneous pulsating checkerboard is our main criterion for definition. The checkerboards of Pathologies or drugs are therefore classified
into pulsating BN and NB.
2/ Let us now call upon the Medius. Positioned in the center of the checkerboard crossing, the middle finger causes the pulse to react in two ways: either a strong pulsation is felt in the center: it characterizes the BN 1 checkerboard such as "Codenfan" or the NB 1 checkerboard ; or the pulsation is felt on the entire checkerboard except in the center, this defines the BN 2 checkerboards such as "Symbicort" or the NB 2 checkerboard.
Finally, biological substances seem to be divided into 4 groups.
The 16-field checkerboard, WB Global
This is the third type discovered of the checkerboard. This is neither WB1 nor WB2 but "global" WB. The middle finger in flight makes the center, the checkerboard and the periphery of the checkerboard resonate at the same time.
This kind of checkerboard very often characterizes the best drugs of a specialty as well as remedies in THD, (very high homeopathic dilution) in 1000M-CH.
Of course, there are also 3 kinds of opposing checkers, BW1,BW2, BW global.
In total, the remedies are grouped into 6 groups.
These 6 groups are found in pathology, but the overall forms are rarer.
THE SICK MAN AND HIS 2 REPRESENTATIONS
It can manifest itself via its photo (head and neck) sent by email or WhatsApp.
It is also possible to put it in words: "First name-N."
First name-N.
To be in harmony with the checkerboard lists of medications, this First Name-N. must undergo, via Paint, a "checkerboard layout" itself and in a coherent way in 16 boxes:
The first name is usually in the form NB.
The photo
The direct "face-neck" photo is naturally in the form of 4 basic fields, it is of the NB type.
.
The real patient
It has no place in our screen tests because it is not in 2D but in 3D, which would promote interference with the Pulsologist. On the other hand, it finds its place in the control of the results of tests (during exposure).
The Audio patient is an exception
The patient can indeed call you. And the speaker of this one emits a Mono message in 1D. As long as he is on the other end of the line, even without speaking, his presence in front of his microphone is enough to transmit to you the biological and pathological information of his whole being. It's quite prodigious. In this circumstance, the 3D Pulsologist does not interfere.
This makes it possible to measure the effect of a treatment on the pulse remotely.
Specificity of the resonance between a photo and a substance
The specificity of the word itself is that it can be composed : "generic-specialty". If ever there is an error on one of them, a misalliance, the middle finger no longer perceives the central point. Example:
This Ventolin-Becotide mix is a kind of chimera. The flyover of the middle finger induces TTTT pulsations over its entire surface. unprecedented!
On the other hand, the generic name or that of a medicinal product resonates perfectly with the photo of the capsules of the drug, or even the photo of its packaging that bears its name.
Simple experiment: display on the PC the name of the drug at G on the screen (Salbutamol) and the photo of the same drug at D (Ventolin), without contact of the images; the remote hover with the Middle D reveals the strong resonance that unites the two images; if one of them is removed from the screen, any resonance with the pulse disappears; it vanishes, also, when the Name does not correspond to the image.
How to proceed with the PC?
Warning: I have a PC with a wired keyboard and screen. No tests with a wireless mouse or keyboard to connect to the PC has not been experienced so far.
We know that the Patient's Name in 16 boxes is written – via Paint – on one side of the screen.
The list of medicinal substances is selected according to the type of disease (the specialty). The list of medications is displayed contralaterally on the screen, without contact with the Name (or photo).
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The choice of detector pen
1/ The S.T.B.R. universal pen and its alter ego, inverted in color, have become major references. The first serves as a detector for male patients and the second for women.
2/ The "Info-1et2" pen is new. It allows tests on pathologies or global WB or BW remedies.
3/ There are other pens reserved for Pulsologists that allow you to target the checkerboards of the WB (1 and 2) and BW groups, either to target groups 1 (BN or NB) and 2 (BN or NB)... These 4 pens are more handy than the medium one. They are essential to control the classifications into 4 groups by checking the absolute absence of intruders from a poorly defined checkerboard.
The substances in the running are flown over with the tip of the pen.
Realization of the induced pen: the pen is a simple plasticized pencil, held in the right hand, which, placed in front of the Wordfilm or the image of the S.T.B.R., takes care of the information after one minute of exposure. This induction should be repeated once a day or every other day depending on usage.
These different pens can be identified by the different colors of the plastics.
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How to use digital remedies
Selection of remedies in the absence of the patient
Remark. The practitioner cannot test remedies directly on the patient in 3D because, in this case, informative interference would occur with himself in 3D.
If the Pulsologist is looking for a cure for himself, he must also enter his First Name-N in 2D, for consistency, to respect the list of pathologies in 2D. His 2D photography is also coherent.
The mystery of the patient's first name
As we have just seen, the patient can be replaced by his or her
photo as well as by his or her "First Name-Last Name" in 16 NB boxes.
What is very striking is this:
the First Name-N. is not dated ! Everything happens
as if time did not exist! Three months apart, the same patient can be a carrier of two different conditions; however, the chosen remedies will be in line with the
patient's updated state of health, represented by his or her N-First Name, on which Pulsology focuses. Since no photo can testify to past affections, it is still possible to go back by adding the previous date of the ex-pathology to the photo or first name file
It goes against the scientific approach which requires the repetitiveness of all experiments and the reference to time.
This is not a thought experiment; I would rather evoke an
experiment of consciousness, because it can only succeed if the bearer of the First Name-N (or his photo) is
alive: in fact, the checkerboard of the First Name (with 4 or 16 fields) of a deceased person remains silent with regard to the middle finger or lateralization, at G of the screen, of its checkerboard and does not enter into any pathological or medicinal resonance! Thus, the cause of death is not accessible.
On the other hand, the photo or checkerboard of a living person is suitable for any pulsological investigation, even if this person
lives at the antipodes of the earth.
In short, we can touch with our fingers the Transcendence, and therefore the two Worlds.
The list of medications that are being considered
The election is based on the lists of medicinal substances (with 16 boxes) proposed in a particular field (rheumatology for example): BN and NB, BN 1 and BN 2, NB 1 and NB 2. Each list is often analyzed on the right side of the screen.
We know the
"contact-gap" reaction : a drug held in the hand, which reacts to contact (of the chest) is harmful, and if it reacts only at a distance, with an extended arm, it is favourable. In each specialty, the lists include a large number of medicinal substances. Each list is displayed on one side of the screen and the photo is on the other side, at a distance and even
zoomed in small, which artificially increases the distance. This distance makes it possible to identify the
favourable remedy.
On the other hand,
allergens are harmful. Their Motfilms therefore
aim above all to
establish diagnoses. The patient's photo and the list of allergens are
in contact or slightly superimposed on the screen; we find the contact reaction and the screening of the allergens most harmful to the patient.
Of the use of the detector.
1/ With the
S.T.B.R. detector-pen 1, the various "medicines" of the incriminated specialty are skimmed over in order
to target the remedy to which the patient aspires.
We have to agree on the type of resonance that is manifested.
In the
Deviation Reaction, the remedy is "favorable" only if the pulse reacts after a
drug has been removed from the body; in reverse, on contact, it must be perfectly silent.
This phenomenon manifests itself in the tests: the cursory glance at the list of medications, close to the photo and via the STBR pen, causes the pulse to react in this way: in the middle of a
hectic list of pulses, a calmer area is revealed and in the center of this area is a completely silent disease or cure, He is the chosen one, he is
the remedy that manifests itself "in the background", it is a reflection of the reaction to the gap. This silence continues.
2/ With the "Info-1et2" pen detector dedicated to the BN and NB global Motfilms.
These Wordfilms represent global information NOT Fixed: these remedies,
pure and hard oscillating, are the only ones to have resisted the notion of fixity, which has been the common thread of all our research.
In general, they also appear
in hollow form initially, but after 32 pulses, they respond in relief, also for 32 P, then back in hollow. This is a sign of their pure oscillating nature.
Detector pen for sick women
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The S.T.B.R. The inverted color is here the reference for detecting resonances.
However, the same "Info-1et2" pen is used for non-fixed substances or pathologies.
Particularities
Phytosanitary poisoning
For the intoxicated patient or the careless farmer, it is not the raw product, even in the state of Motfilm that can relieve him, but its "Homeopathic in THD" form; this state of superfast broadband eliminates the toxic side of the phytosanitary product. The main phytosanitary products in THD are found in "soins-numerises.com/20".
Exhibition at the Motfilm 1000M-CH in reduced format (zoomed in (-).
Would exposing plants to a
Wordfilm of the raw phytosanitary product being considered be more desirable than the application of these real chemical substances? This is a question for which we have no experimental answers. In any case, these raw phytosanitary products are not offered on our care or remedy sites; but they are available for those who are interested.
Viruses
They are often involved, they initiate many diseases.
Diagnosis. The first virus that resonates is usually the culprit because it pulses continuously across the pen "in contact". The process can be amplified by making the two files, the patient and the viral list, contact each other and overlap on the screen.
Prevention. The Wordfilm of a virus may have the ability to inform a healthy subject and, via the exhibition, to "vaccinate" him: preventive action in times of flu.
A viral disease cannot be countered, either by the modified causative virus or by other viruses.
From a therapeutic point of view. Only the homeopathic route is possible (Influenzinum 9CH). The causative virus can be modified: "Virus-x-30CH". Some viruses require THD: many Coronavirus mutants require dilution to 1000M-CH, e.g. Coronavirus-omicron-Mixed-BJ1-BA2.75 1000M CH.
Multiple Allergy Pathogens
Let's face it, the field of allergies is very vast and complex. In the case of summer asthma, multiple pollinoses can associate and the names of the components are unknown.
The same applies to food intolerances from ready-made meals in supermarkets. This intolerance will benefit from exposure to the film of Depolluting Labradorite (at the top of all the sections).
The use of homeopathy is self-evident and in THD for certain allergens. This study is ongoing. For some pollinoses (ragweed), the mask is sometimes the only way to filter pollen during critical periods. The same goes for the baker who becomes allergic to flour: he has to change jobs.
Therapeutic Exposure
The Wordfilm Remedy, adapted to the patient, is displayed visually in the centre of the screen.
It is static, immobile; it sends specific information via the EM fields that carry the screen.
For each drug or medicinal principle, a Wordfilm is proposed that targets the affected patient.
Several Wordfilms of medicinal substances are often necessary (case of Covid). Infectiology and antibiotics; Cardiovascular complications, Central nervous system, Rheumatology.
From the beginning of the exhibition, the pulse beats strongly (if the Motfilm is well adjusted, opportune). During the period of impregnation of the organism, strong beats of the pulse are manifested; When the pulse is finally calmed down, the exhibition can be stopped.
In practice, the patient places himself in front of the screen. In front of each Wordfilm, he exposes himself once or twice a day, then for 30 seconds.
If no clinical improvement occurs at the end of a five-day treatment, everything can be suspended, the Motfilm is not adapted.
Therapy monitored by the Pulsologist.
However, from a therapeutic point of view, the practitioner can control, on his own pulse, the effect of the Wordfilm on the patient in 3D and its informative duration.
His own pulse detects by the strength and number of its beats the correctness of the indication of the remedy; this supposes that the practitioner is more or less neutral, that he interferes only slightly with his patient; that being said, if the Wordfilm is very indicated, very conducive to the patient, the presence of the practitioner is negligible.
Any practitioner who knows how to take the radial pulse is able to appreciate the strength of the pulsations.
Any doctor who evokes therapy can control his intuition by this very fact.
Non-Pulsologist Therapist
If he is considering a possible useful medication, he can find it via the search window. He then turns to the latter and exposes his patient to it. And if the pulse beats strongly, it has proof that its intuition was right. These strong beats must last half a minute for this drug to be well targeted; if they last only six to 10 seconds, the remedy is secondary, accessory.
Principle of convenience
It would be highly detrimental and unreliable to use oncological remedies to treat cancer without the approval of a proven Pulsologist who could guide the therapeutic choice. However, the Oncologist will be hostile to any therapeutic suggestion, being subject to the protocols imposed on him....
It goes without saying that oncological pathologies (cancers) are not our responsibility; however, we dare to offer, on the "remedes-numeriques.com" site of the "Motfilms", many oncology drugs in order to be able to choose, via the pulse, the best targeted remedies, the most suitable for the affected individual, before moving on to actual chemotherapy.
Could this approach be conceived in the context of a Staff Meeting? It has no chance of seeing the light of day, the international protocols with the support of pharmaceutical laboratories have a statistical and not an individual approach;scientific and no experiment of consciousness.
On the other hand, we can only encourage patients suffering from intermittent functional disorders to experiment with these remedies as soon as they know from experience what suits them..
These remedies can also compensate for real drugs that are out of stock.
The window at the top left allows you to immediately find the substance you are looking for.
Some old remedies, sidelined to extinguish all commercial competition, can be found here.
This is the case of "Injectable Brown Eucalyptin" which, as a generator of minimal fixation abscesses, was widely prescribed in the 1960s and 70s, and overshadowed antibiotics.
The Remedies restore the balance of the sick by countering their biological imbalance. Of course, in chronic cases, the pathological nature reasserts itself and a new exposure to appropriate Motfilms is necessary.
"Heal sometimes, relieve often, always console," said Ambroise Paré. That is what we are trying to do.
Thanks to the Motfilms, can we say, like Lamartine, "Inanimate objects, do you have a soul?" We will content ourselves with saying that they have above all an informative Soul and that it is towards this that we are hastening.
Thanks to Pulsology, via electronics, we have moved from hard science to the conscious approach to Life.
I would be very presumptuous not to associate my friends D.C. and A.G. with the success of this research, to whom I pay a lively and well-deserved tribute.
JCT