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Remèdes Numériques
- Mise à jour 2019 11 23
1/ Biologie numérique
Introduction
Après avoir lu et fait lire le livret de J. Benveniste sur ce sujet : « Ma vérité sur la « Mémoire de l’eau » (Albin Michel) », A. G.(électronicien) eut une intuition. Il considéra que le solénoïde enregistreur (plongé dans un liquide) employé par J. Benveniste était simple et que l'entrée d'un microphone, étant équivalent à une inductance au niveau électronique, pouvait jouer le même rôle que ce solénoïde et pourrait peut-être donner des résultats équivalents (dans l’air). Il m’adressa donc par mail un enregistrement audio de Sulfur pour savoir ce que j’en pensais.
La lecture se faisant sur Windows Media, une résonance du Sulfur 9CH réel et du Sulfur numérique émanant de l’Ecran du PC,
en visualisation seule, se produisit sur mon pouls, de manière faible mais réelle.
L’étude des caractéristiques des substances, pharmacologiques ou des salives,
enregistrées par le PC, via un microphone, fut donc entamée.
Enregistrement salivaire
Le microphone, étant posé sur un sachet contenant un prélèvement salivaire, enregistre l’information électromagnétique (EM) et non EM (Biochamps) contenue. Il n’y a plus qu’à lire, sur Windows Media ou sur WavePad, le fichier et le message(silencieux) qui en émane ; on active aussi la répétition en boucle du lecteur de l’information numérique salivaire. Il est plus simple, grâce à un logiciel Audio d’améliorer le « message », de le purifier, et aussi de
visualiser sa bande passante.
Le champ d’enregistrement
Nous ne sommes plus dans une
salle d’examen protégée, mais dans une autre pièce où se trouve le PC.
Sur la table de ce PC se trouvent le moniteur (l’écran), une souris et en dehors de la table, l’ordinateur, un microphone et quelques autres appareils comme le Modem, une base de téléphone sans fil...
Naturellement nous souhaitons que tous ces appareils sous tension n’interfèrent pas dans notre enregistrement. Nous utilisons donc ces
divers instruments que nous avons déjà présentés (Pulsologie Chap. 4, 5, 6, 7).
La salive doit être dépolluée.
Il convient que la salive (ou le médicament) subisse une préalable dépollution. Sinon la pollution serait aussi enregistrée. Cette dépollution se fait grâce au Biofilm de Labradorite. Les contenants, le sachet Minigrip et le SandWich fait de deux papiers gris isomorphes, sont dépollués simultanément.
Soustraction des supports du produit
Qu’entendons-nous par « support » de la salive ou d’un médicament ? La salive repose sur un coton-tige, lequel est enfermé dans un sachet Minigrip. Le médicament peut être dans un simple Minigrip ou déposé (sous forme liquide) sur une pastille de papier-filtre insérée elle aussi en sachet (ou placée dans un Anneau-Test).
Le Minigrip et le sandwich gris qui l’entoure ne sont pas totalement neutres ;ils représentent un premier support. La table en bois, sur laquelle sont posés Minigrip et sandwich, forme un autre support. Ces divers éléments sont enregistrés de manière simultanée avec la substance biologique ou médicamenteuse. Nous nous sommes interrogés : ne fallait-il pas
soustraire ces supports pour obtenir un enregistrement pur des substances médicinales incluses ?
Revenons à nos supports. En mixant (via le logiciel WavePad) le remède-Minigrip avec un Minigrip-témoin inversé, l'information de la substance pure semble obtenue ; la résonance devant l'écran entre une substance réelle en SW et son sosie numérique pur est plus intense qu’avec son sosie numérique non soustrait.
A propos des supports, il ne faut pas oublier la table, sur laquelle sont posés le SW et son contenu salivaire.
On ne peut également avoir une complète soustraction des supports que si ces derniers sont eux-mêmes dépollués avant la réalisation d’un « support numérique inversé de référence ».
En bref, nous devons soustraire le
contexte d’enregistrement qui est composé surtout des supports.
Par principe, le niveau sonore de la salle d’enregistrement doit rester
silencieux. Les logiciels musicaux ont tous la possibilité de soustraire les bruits de fond. Mais nous sommes ici devant un paradoxe : bien qu’on en ait le pouvoir, on ne peut pas soustraire le bruit de fond sans perturber l’information. Ce
paradoxe avait déjà été signalé par le Pr Luc Montagnier.
Problème de la classification des remèdes.
Une fois enregistrées, les substances médicinales semblent réclamer des regroupements en « ensembles harmonieux cohérents ». Voici les divers groupes qui se sont proposés et que nous avons explorés.
Déterminer les substances O et X.
Au cœur d’une liste, chaque remède numérisé est activé seul sur l’écran.
L’arrière-plan de l’écran (gris uni au départ, à l’instar des sandwichs) fut remplacé ultérieurement
par un Biofilm de Labradorite dépolluant.
Que dit le pouls lors du survol de ce remède activé par un trèfle D ou G ? Si le remède numérisé résonne au centre,
il est X, si la résonance se fait en halo
il est O. Ces modes de résonance correspondent aux champs sexués : X féminin et O masculin (Pulsologie Chap. 6).
Ce procédé simpliste a d’abord été remplacé par des coquillages sexués idoines pour déterminer le sexe ; par la suite cette détermination du sexe s’est révélée superflue. Mais ce genre de classification nous ouvre à quelques expériences dont celle-ci.
Si plusieurs remèdes sont activés simultanément dans une liste, en raison de la
malléabilité des substances,
des erreurs de classifications peuvent être commises. En effet, si vous insérez un seul remède numérique X au cœur d’une liste O, ce remède numérique, malléable, va subir la pression ambiante et tendre à devenir o, tandis que les remèdes O adjacents perdent de leur force O sans devenir x pour autant. L’analyse rapide de la substance o sélectionnée seule ne révèle pas sa vraie nature X immédiatement (à moins d’attendre un certain laps de temps) et on risque donc de passer à côté de sa vraie nature. D’où la nécessité de
l’activation d’un seul remède à la fois.
.
Déterminer la Latéralité D et G des substances
Les substances biologiques, comme les salives, possèdent une
Latéralité Droite ou Gauche (D) ou (G). Pour réaliser cette classification, nous avons recours à un instrument spécial, le
Feutre à deux Windsor. Ce crayon feutre muni de deux « nœuds de type Windsor » procure au feutre une bipolarité : une de ses extrémités émet un Champ Innominé D et l’autre extrémité un champ Innominé G. Ainsi la pointe à CI D résonne au centre de tous les remèdes de Latéralité D.
Séparer les substances à cdtD des substances à cdtG.
Les trèfles D et G (ou les T BN inférés en cdtD ou G) définissent bien ces substances médicinales. Une substance X résonne au centre mais avec un seul des deux trèfles.
Pour cela il est bon que l’analyste soit pourvu d’ODCO ou d’OXO aux deux médius (selon sa propre Latéralité) pour qu’il garde sa neutralité.
Les huit premiers groupes.
Selon ces trois critères (sexe, Latéralité et champ de torsion) nous obtenons 8groupes, le premier étant par exemple « OD cdtD » et le dernier « XG cdtG », en passant par OG cdtG et XD cdtD…
La Hiérarchie des substances.
Au départ, les substances médicinales étaient listées selon l’ordre alphabétique. Et les tests de remèdes faits à partir de ces listes nous conduisirent à élire à la fois des remèdes bien indiqués mais plus souvent des remèdes très secondaires voire aberrants.
L’analyse des champs numériques des remèdes nous a conduits à reprendre nos classifications médicinales alphabétiques. Nous avons découvert que les médicaments pouvaient se ranger « selon l’écart de résonance du trèfle D vis-à-vis du G ». Pour chaque substance activée existe
un écart de résonance propre entre les trèfles (qui sont des résonateurs). L’écart entre ces trèfles varie de 5mm à 6 mètres. Et si nous partons du plus grand écart résonant qui nous définit le médicament« 1 », nous réduisons l’écart jusqu’à la prochaine résonance qui nous définit la substance « 2 » et ainsi de suite jusqu’au plus faible écart. Ces résonances ont été faites via le feutre à 2WW.
Le procédé réel utilisé consista à démarrer du plus petit écart entre les trèfles. Le premier homéopathique pseudo-résonant fut le N°1 et fut désactivé. En élargissant un peu l’écart, nous tombons sur le N°2 qui désactivé conduit auN°3 etc. Et nous sommes arrivés
au dernier médicament N°15 lors du plus grand écart. Telle fut notre première hiérarchisation.
Les groupes salivaires E et F.
Nous en avons déjà rendu compte sur le site de Pulsologie (voir Article 16, les Biochamps E et F). C’est à partir des salives qu’ont été découverts ces sous-groupes E et F.
Ces groupes dérivent d’une observation capitale ayant trait aux listes hiérarchisées. Il existe une vraie discontinuité des pulsations entre la partie supérieure et l’inférieure d’une liste : la supérieure pulse en long et l’inférieure en travers. La supérieure représente, après mixage, l’origine du Biochamp E et l’inférieure l’origine du Biochamp F.
Simplification des classifications.
Les Champs fixes et les Champs oscillants
Les salives numérisées nous ont permis d’observer que certaines semblaient fixes ; leur définition (ODd par exemple) perdurait tout au long de la mesure. Et à rebours se manifestaient des salives oscillantes dont la phase s’inversait toutes les 8 Pulsations..
Cette complexité des groupes allait bientôt trouver une simplification
Nous avons, avec patience, mesuré la durée, le nombre de pulsations qui définissait les salives oscillantes. Or à notre grande surprise nous avons observé que toutes les salives oscillaient, que les salives fixes n’existent pas. Une salive « fixe » est en fait animée d’oscillations très lentes (50P ou plus par phase),
une salive ODd devient XGg lors des 50 pulsations suivantes. Finalement toute substance semble couvrir tout le spectre de nos trois champs de base.
La définition de nos groupes pseudo-fixes de salives repose en réalité sur la mesure
immédiate, faite lors de la première phase, en négligeant la seconde phase. Seules échappent à cette méprise les salives à oscillations rapides qui virent de bord pendant la mesure et que nous avons appelées salives à champs oscillants.
Bref, toutes les salives sont oscillantes
au regard de nos instruments de mesure.
Nous avons découvert assez récemment que la présence sur le bureau des deux trèfles était un facteur d’oscillations : la paire de trèfles réalise un vrai dipôle malgré l’absence de contact des deux éléments entre eux.
Idem pour le feutre à 2WW qui est bipolaire et donc lui aussi inducteur d’oscillations.
Les Biochamps fixes.
Comment sortir de ces sables mouvants ? Nous sommes dans une impasse.
La première observation intéressante s’est faite en se focalisant sur les Champs E et F, les petits derniers à se manifester. A l’analyse de ces champs, faite à partir d’un stylo en plastique induit en E et d’un autre stylo induit en F, nous avons enfin noté qu’aucune oscillation n’avait lieu entre ces deux éléments. Nous étions enfin devant un Biochamp fixe.
La seconde observation a trait aux CIB, ces champs de Latéralité du revêtement cutané, mais aussi des substances.
Pourquoi ces champs étaient-ils oscillants ? Nous venons de le signaler, tout simplement parce que le
Feutre à 2 Windsor utilisé lors des analyses était
bipolaire avec une extrémité D et l’autre G. Tel un aimant, ce feutre à 2W engendre des oscillations spontanées.
Nous en sommes venus à enregistrer séparément chaque extrémité de ce feutre à2W et avons obtenu deux Biofilms distincts via lesquels
nous avons induit deux stylos de plastique, un de Latéralité D et un autre de Latéralité G.
C’est alors que les remèdes, survolés par un de ces stylos, émirent des
CIB fixes, soit D soit G comme le laissait prévoir la phase initiale des mesures faites avec le feutre à 2W.
Dès lors chaque salive avait une seule Latéralité et un seul champ E ou F.
Que deviennent les autres champs oscillants ?
Malgré l’emploi de stylos unipolaires induits, les Champs sexués et les Champs de torsion continuèrent à osciller.
Nous en avons déduit que ces champs ne sont pas de vrais Biochamps. Qu’ils n’ont pas leur place pour définir des substances biologiques ou des médicaments.
Retour aux enregistrements.
De tous ces évènements, le doute a émergé quant à la validité de nos enregistrements.
La seule chose rassurante fut celle-ci : les enregistrements se faisaient en posant le micro sur le
SW isomorphe (salivaire ou médicamenteux). Or ce SW, qui impose un champ de forme à la substance contenue, a la propriété d’être, sur toute sa surface, F ou E. Ainsi donc, beaucoup de mes enregistrements se trouvèrent assez bons. Ils étaient tous F car les E pouvaient être inversés par simple copie en F. Nous avions ainsi des listes de spécialités uniformément F. Toute classification se résorbait, les substances pouvaient être rangées par ordre alphabétique et les tests se faire avec le simple stylo FFF.
Note : en l’absence de tout stylo EEE dans le champ pour éviter tout effet bipolaire.
Tests de remèdes
Ces tests visent à établir des résonances entre salive réelle et médicaments numérisés.
Deux cas se présentent :
A/ On veut
évaluer un seul remède numérique en le confrontant à une salive réelle.
B/ On recherche,
au milieu d’un ensemble de substances médicinales, les remèdes numériques les plus appropriés à une salive réelle.
Contrôle d’un seul remède.
Il suffit de sélectionner, d’activer le dossier du remède numérique et de placer le SW salivaire contre l’écran (dans l’angle inférieur D en général). Une résonance, via le détecteur-stylo FFF ou DDD ou 41M confirme une correspondance ; cette résonance peut être vérifiée en glissant en position de résonance l’un des deux trèfles du bureau, via le stylo à Labradorite..
Ce remède est
favorable si le pouls pulse en long et défavorable s’il pulse en travers.
Maintenant, si le remède est désélectionné, désactivé, la résonance disparait.
Nous sommes devant une curiosité informatique. Un dossier audio « sélectionné »et non ouvert équivaut à une "lecture activée" de sorte que cette sélection est informative et autorise la résonance.
Recherche de remèdes au sein d’un ensemble de médicaments
Affichons (Ctrl+A) sur l’écran tous les remèdes homéopathiques (F par exemple) enregistrés.
Avec Windows on dispose de quatre modes d’affichage, du plus petit 1 au plus grand 4. Affichons en mode 3 « grandes icônes ».
Le remède numérique, qui résonnait sans l’aide des trèfles, quand il était le seul à être sélectionné peut ne plus parler quand tous les autres sont activés.
Prototypes des tests
Nous devons avoir recours aux trèfles pour réaliser des résonances si le stylo à LBD est employé.
En arrière-plan de l’écran doit être affiché un Biofilm de Labradorite pour stabiliser les remèdes activés en premier plan..
• Le SW salivaire
Le SW salivaire est placé contre l’écran dans son angle inférieur D (sur le Biofilm de LBD qui le dépollue).
• Praticien neutre
Pour
neutraliser la Latéralité du praticien, surtout celle de ses mains, ses médius droit et gauche de mains portent un ODCO (un O entoure le doigt) si sa Latéralité est D ; ou un OXO si sa Latéralité est G. Cette neutralité est indispensable si le stylo à LBD est utilisé.
• Détecteur.
C’est le stylo à Labradorite.
• Les résonateurs.
Pour établir la résonance du remède favorable, nous faisons donc appel aux
trèfles D et G (Chap.11) le D étant situé à droite et le G à gauche du clavier de l’écran.
Nous glissons un des deux trèfles sur la table afin d’établir, via le pouls, la position de résonance ; cette position permet de découvrir (via le détecteur)le remède résonant qui sera alors désélectionné.
Si nous cherchons un médicament nocif, nous devons établir une vraie résonance en inversant les trèfles de côté en position D-G.
Pour aboutir aux remèdes majeurs, il faut parfois éliminer d’abord les nocifs antagonistes en les désactivant, les remèdes majeurs s’expriment alors bien.
• La résonance est plurifocale.
Quand le détecteur LBD analyse, en le survolant, chacun des éléments du système (le remède favorable, le sandwich salivaire, les trèfles) chacun est en résonance et engendre un même nombre de de pulsations (de VAS).
Émission d'un remède homéopathique enregistré
Prenons un dossier d’Ipéca 5CH(centésimale hahnemannienne) numérisé et activons-le sous forme de grande icône.
On constate qu’un tube réel d’Ipéca 5CH entre en résonance avec l’Ipéca numérique affiché par l’écran du PC, à proximité mais aussi à distance (à 10 mètres en avant de l’écran, sur l’axe orthogonal du dossier) ; si l’affichage sur l’écran a la forme d’un carré de 5 ou 6 cm de côté, ce carré garde la même dimension à 10 mètres de l’écran.
Un Champ de Torsion en forme de
tube rectangulaire, de tunnel, rend compte du phénomène ; un champ EM (à ondes transversales) ne donnerait pas cela. C’est donc le champ de torsion qui porte le Biochamp informatif d’Ipéca 5CH.
Effet thérapeutique
Supposons qu’un remède homéopathique, Nux vomica 5CH, résonne avec la salive d’un malade et réponde positivement à la réaction d’écart.
Si ce malade est placé devant l’écran émettant Nux vomica 5CH son pouls réagit pendant une à trois minutes puis se tait ; la diffusion est stoppée. Deux heures plus tard, après cette « exposition » l’effet persiste, son pouls ne répond plus ; il paraît saturé. Bref, le malade a enregistré l’information du remède comme s’il avait ingéré des granules. Une fois saturé, le malade revient en salle d’examen et le « Nux vomica réel » est de nouveau testé ; on constate alors que ce Nux Vomica réel ne répond plus à la réaction d’écart.
Vingt-quatre heures après, il peut de nouveau réagir, certes plus faiblement, et le patient peut être traité de nouveau. Après 4 ou 5 jours, Nux vomica ne répond plus du tout.
Cet effet thérapeutique n’est pas propre à l’homéopathie. Globalement, toute la pharmacopée peut prétendre à une numérisation laquelle peut conduire à une thérapeutique numérique. Même si après exposition à un médicament allopathique numérisé l’action thérapeutique ne vaut pas son ingestion sous forme de comprimé, la signature informative permet d’en poser certainement l’indication et d’en suivre l’action au cours du traitement réel biochimique.
En raison de son émission par
écran sous tension, l’information numérique émise est renforcée, boostée. Cette information numérique (Nux vomica 5CH) agit sur le SW salivaire réel. Lors d’un côté-à-côte prolongé, le remède numérique en émission désinforme la salive réelle, accolée à l’écran, au point que celle-ci se trouve temporairement« guérie » ; en réalité, dès la désactivation du remède, après trente secondes de latence, la salive se réinforme spontanément et retrouve son état pathologique initial via le Biofilm de Labradorite en fond d’écran.
Affichage des méridiens d'acupuncture sur la peau
L’affichage des méridiens d’acupuncture à partir d’
Organos en 9CH enregistrés est également facile à réaliser. La simple exposition du visage à l’écran émetteur fait apparaître, via le pouls, les méridiens du foie ou du pancréas par exemple sur les membres inférieurs non exposés. Un simple détecteur, parallèle à la peau, révèle les méridiens sans mise nécessaire des trèfles en résonance.
Double méthode de contrôle
Ce que l’on a trouvé par test sur les remèdes numériques et par test sur les remèdes réels en salle d’examen doit se recouper. Il est assez exceptionnel de disposer de deux méthodes (réelle et numérique) pour contrôler un résultat. Et si celui-ci n’est pas au rendez-vous, il faut généralement incriminer un défaut technique : un problème
d’oscillations lentes par exemple (Pulsologie Chap. 3 – 8 les oscillations lentes) ou un problème de pollution de la substance médicinale...ou du malade.
Ajoutons qu’un nombre de Pulsations caractérise le remède favorable lors de la mesure de la résonance entre la salive et ce remède
numérique au sein du groupe activé. Ce nombre doit être identique lors de la réaction d’écart de ce même remède,
sous forme réelle.
Inférence d'une information numérisée sur un support
Les supports naturels les plus inférables sont les
corps gras (huile d’olive ou de tournesol) ou le
fructose en poudre. Les oses purs (le sucre roux de canne ou le fructose) sont aussi propices.
L’inférence informative n’est pas une mise en mémoire mais l’intégration d’un champ informatif.
L’eau
déminéralisée pure est aussi inférable que le fructose.
Le mélange eau + alcool semble être cependant le meilleur soit pour bien inférer soit pour réactiver une inférence par succussion.
Bref, il est possible de transférer sur du Fructose une information provenant de n’importe quel médicament numérisé.
Il faut savoir que le fructose inféré se décharge sous l’effet des champs
magnétiques ambiants puissants et surtout lors des transports en voiture (alternateur responsable) ; mais il est possible de le
réactiver à partir du remède homéopathique numérisé ou simplement en le dépolluant par la Labradorite.
Le
cas d’urgence du dimanche. Le malade peut placer des sachets Minigrip contenant du Fructose devant son écran (avec visualisation) émettant les messages des remèdes propices. Au bout de cinq minutes, il peut considérer que ses remèdes homéopathiques sont inférés dans le fructose. Ainsi, il pourra prendre une pincée de ce sucre matin et soir de chaque et le placer sur sa langue. Certes, la dilution optimale ne peut être fournie puisque les homéopathiques enregistrés sont à peu près tous en 9CHou en très hautes dilutions korsakoviennes.
En réalité le cas d’urgence, c’est le manque de Pulsologues…
Modification d'inférence sur du fructose
L’information salivaire,
portée par du fructose, se décharge en regard d’un remède homéopathique très favorable émis en numérique ; il est cependant possible de recharger le fructose à l’identique à partir de l’information préalablement numérisée de la salive.
Mais il est aussi possible de modifier l’information inférée. On peut, à partir d’un sachet de fructose chargé d’une information salivaire, inférer une information médicinale. Ce transfert d’info se fait en trois phases. La première voit le fructose se décharger (oscillations décroissantes) ; la seconde phase, silencieuse et assez courte, correspond à la phase du fructose neutre (ce retour à la pureté est contrôlable à partir d’un sachet de fructose originel) ; la troisième est la phase de nouvelle inférence. En général, pour être sûr que le transfert d’information soit complet, il convient d'exposer le fructose à l'écran pendant cinq minutes.
Cette inférence du fructose trouve d’évidentes applications en Homéopathie
« Musicothérapie » et champ de torsion droit
Une question se pose : les cdtD naturels sont-ils plus favorables à l’homme que les cdtG ?
A .G. a trouvé sur Internet une publicité vantant le pouvoir bénéfique de certaines musiques. La lecture de quelques extraits de ces mélodies fut associée à la visualisation animée aléatoire.
Nous nous sommes aperçus que la
musique sacrée (plain-chant grégorien) émettait de forts cdtD ; musique généralement admise comme bénéfique à l’équilibre spirituel.
Nous pouvons mesurer la qualité
du cdtD émis. Pour cela nous mettons en lecture, sur l’écran du PC, la bande passante musicale et, en regard, un trèfle Droit. Le pouls réagit et nous comptons le nombre de pulsations. Ainsi face au trèfle D (le trèfle G étant très éloigné), le chant grégorien donne 110P.
A noter : le mixage de deux mélodies dont l’un donne 60 P et l’autre 40P ne donne pas 100P mais 60P.
Analyse d’un trèfle D : il est accompagné d’un
axe central en cdtG opposé
si et seulement si cet axe est révélé par le trèfle G le survolant.
Mais si le trèfle G est éloigné du champ d’examen, et qu’un TBN à cdtG pur unipolaire survole le trèfle D, aucun axe central n’apparaît ; a contrario si le TBN cdtD pur unipolaire le survole, on a alors une résonance de toute l’aire du trèfle D.
Si on affiche la piste sonore d’une cantate de Bach sur un logiciel d’enregistrement Audio, on note la présence
d’axes verticaux, via le TBN en cdtG unipolaire, sur la Bande Passante. Ces axes sont régulièrement répartis et sont au nombre de trois.
Il y a-t-il un rapport entre ces CDTD et la
spiritualité ? On ne peut l’exclure bien que les CDTD ne soient pas des Biochamps mais plutôt des champs porteurs de ces derniers. Ceci étant il faut concevoir que la Bande Passante comporte aussi des axes verticaux de Biochamps.
Toute composition musicale se manifeste au pouls comme étant en relation avec le compositeur lui-même ; ses interprètes divers n’y changent rien. On peut établir une classification des compositeurs selon leur « indice de spiritualité », selon le nombre de cdtD que dégagent leurs mélodies. Si de Vivaldi ou Mozart émanent 40P de cdtD, si de Bach ressortent 60P, Claudio Monteverdi en émet 80, Gregorio Allegri 98 et le chant grégorien 110. Rien ne semble dépasser le chant grégorien.
Même si la musique n'a pas d'action thérapeutique évidente, elle "adoucit les mœurs". Il est bien sûr qu'une musique au tempo assez calme (un Andante ou un Adagio) est favorable à la relaxation. Certaines mélodies peu rythmées, à sons continus, sont aussi favorables. La musique aiguë (violons) est plus tonifiante que la musique grave (violoncelle).
La musique est généralement aussi nécessaire à la vie qu'une bonne nourriture. Bref c'est d’abord un «
musicament ». L’effet spirituel qui peut s’en dégager possède en revanche un effet thérapeutique que seuls les méditatifs peuvent bien percevoir, apprécier, et accueillir.
Un nœud borroméen intéressant l'OCDO
Ce sujet est aussi traité ailleurs (Pulsologie Chap. 6).
D.C., un spécialiste à la fois de Psychologie cognitive et de Physique, m’a conduit à étudier ces nœuds Borroméens (Bo) à la suite de nos études sur les nœuds de Trèfle.
http://www.remedes-numeriques.com/images-contenu/Noeud%20Bo%20ODCO.gif
Champ de forme
Nous avons vu que
l’écran plat du PC joue le rôle de champ de forme (supra – 4contrôle d’un seul remède). Il est difficile d’imaginer ce que sont les «Champs de forme ». Nous les utilisons cependant depuis longtemps dans le cadre de nos tests de remèdes puisque les salives ou les différents supports-témoins sont placés en sandwichs de papier gris isomorphes, donc formatés.
Observation de champ de forme.
Plaçons, en SW gris, le sachet d’un anti-inflammatoire tel que le Tilcotil®. Ce SW est posé sur un
plan horizontal dans une salle ; un second SW Tilcotil® est déposé dans une autre salle (à 10 mètres de distance) sur un plan horizontal dénivelé (la hauteur au sol de ces plans est une variable sans importance). Nous constatons alors, au pouls, l’apparition d’un
plan vertical, illimité en hauteur et limité en longueur (les 10 mètres d'écart) ; ce plan passe par les deux SW. Quel que soit l’endroit où l’on se place (auprès de ce plan), un rebond du pouls signale à tout coup que les mains franchissent le plan ; juste avant ou juste après le plan, le pouls retrouve le silence initial.
Si, maintenant, nous inclinons légèrement un des deux SW à Tilcotil®, la résonance n’a plus lieu et le plan disparaît.
Ce plan vertical passant par les deux SW horizontaux est un Champ de forme.
Ajoutons que ce phénomène n’est pas spécial au Tilcotil® ; n’importe quelle substance en double ferait l’affaire.
Autre exemple.
Outre l’étude des trèfles, Google me conduisit vers les nœuds borroméens et
http://www.psychanalyse-paris.com/Un-pas-de-cote-du-demon-du-mi-dire.html
Sur ce site je découvris 16 images de nœuds de Borromée tous différents. Et c’est directement sur ces photos que j’appliquais mes trèfles et que je sélectionnais le plus prometteur (image ci-dessus).
Ce nœud est assez facile à construire ; il est fait de quatre cercles «triviaux » enlacés ; l’ODCO réel est un volume en 3D : les deux cercles terminaux sont dans des plans orthogonaux.
Survolons l’image de l’ODCO ci-dessus avec un trèfle ; le plan du trèfle est parallèle au plan de l’écran(éloignement de 2 cm). Nous constatons alors au niveau du nœud Borroméen baptisé ODCO en raison de sa forme (ce n’est pas un sigle) ceci : le trèfle G, résonne en face de
sa plage ; en revanche le Trèfle D entre en résonance avec la périphérie de l’ODCO.
Il fut assez sidérant de constater que l’analyse avec les trèfles révèle en 3D la même chose qu’en photo (2D). Le
champ de forme de ce Borromée englobe à la fois le 2D et le 3D, le virtuel et le réel. Cette approche pulsologique du champ de forme est assez surprenante.
ODCO placé autour de chaque Médius.
Les ODCO, avec les OXO (voir infra) qui sont des nœuds inverses des ODCO, ont pris une
importance considérable. En effet ce problème de Latéralité variable d’un praticien à l’autre a trouvé ici sa solution.
Le praticien à Latéralité D muni de deux ODCO devient neutre, il perd sa Latéralité manuelle, digitale. Il n’interfère plus avec les salives, ni avec les groupes de remèdes de nature opposée à la sienne qu’il manipule lors des tests.
Le praticien à Latéralité G muni de deux OXO devient neutre également et acquiert les mêmes avantages.
Une autre conséquence inattendue. Nous avons longtemps cru que les trèfles D et G ont une face active et une face neutre et ce en dépit de l’identique conformation des deux faces d’un même trèfle. Lors de ces mesures, ce trèfle était tenu par le pouce, l’index et le médius droits nus dont la Latéralité cutanée n’était pas neutre.
Avec les ODCO aux 2 médius et la neutralité conférée ainsi aux doigts,
chaque trèfle a deux faces actives, 2 D et 2 G.
Ces ODCO-Médius restent indispensables lors des tests réalisés via le stylo à Labradorite comme détecteur.
Un autre nœud borroméen intéressant : l'OXO.
Ce Nœud de Lacan Généralisé nous le symbolisons par « OXO ». Ses effets sont opposés à ceux de l’ODCO. Alors que l’ODCO émet un CDTD périphérique et un CDTG central, l’OXO fait l’inverse, il dégage un
CDTG périphérique et un CDTD central.
Il peut être placé
autour des médius. Il manifeste ainsi ses propres caractéristiques. Il révèle les CDT naturels du corps : CDTD en creux (Chakras) et CDTG en relief (Occipito-maxillaires et zones ganglionnaires).
Note : « en relief » signifie en résonance et « en creux » signifie en pseudo-résonance.
D’une façon plus générale, l’OXO
impose un CDTG global très discret à l’ensemble des champs cutanés, doigts compris.
Ce nœud OXO est surtout indiqué
pour neutraliser les champs cutanés des sujets à Latéralité G, du patient ou du praticien.
A partir de ce moment se fait jour une
véritable indifférence des deux protagonistes de la Bulle, l’un à l’égard de l’autre. Si le praticien et le malade sont de Latéralités opposées, l’un porte aux médius un ODCO s’il est de Latéralité D et l’autre un OXO s’il est de Latéralité G
Note : la construction de ce nœud est un peu plus complexe. Il est bon de le faire sur une planchette à 5 clous en croix.
Conclusion
L'information qui émane d’un remède numérique ne possède sans doute pas l'effet pharmacologique d'un vrai médicament, mais elle permet d’en orienter son indication.
Il serait en effet stupide de penser que cette information numérique puisse guérir une carence alimentaire ou vitaminique, remplacer un béta bloquant ou un béta-stimulant... Déceler les limites de cette Biologie numérique est une affaire difficile par manque de Pulsologues.
La Biologie numérique n’en reste pas moins intéressante sur certains points. Elle permet d’enregistrer toute une pharmacothèque et ceci de manière stable :les substances médicinales numérisées ne peuvent être périmées. De plus, les médicaments réels ont tous été dépollués préalablement grâce à la Labradorite en général ; la plupart des remèdes numérisés peuvent servir d’étalons. Ils peuvent aussi réinitialiser des médicaments pollués.
Les élèves en Pulsologie auront la chance d’exercer leur pouls à partir d’informations très renforcées et donc très résonantes simplement en rapprochant la substance numérique en diffusion et la substance réelle source (dépolluée).
Dans le monde numérique, la présence du malade est moins nécessaire que celle de sa salive. Cette dernière suffit à découvrir les pathologies et indiquer les remèdes favorables qui conviennent à son donneur.
Nous avons enfin entrepris l’étude des Nœuds Borroméens et en particulier des ODCO et des OXO. Ce nœud vient compléter par ses qualités originales les nombreux atouts que nous devons déjà aux nœuds de Trèfle mais aussi aux nœuds de Windsor plus récents.
2/ Champs de torsion
Introduction
Après avoir brièvement décrit ce qu’est un champ de Torsion, nous verrons les implications de cette notion dans le cadre de la Pulsologie et de la biologie numérique. Je remercie d’abord ceux qui m’ont apporté leur concours pour initier cet exposé sur les champs de torsion :
A.G. et D.C.
Brève approche physique
Les champs de torsion sont d’abord des entités mathématiques étudiées par
Elie Cartan à partir de sa notion de« spineur » (en 1910) ; ce sont ensuite des entités d’astrophysique (Einstein 1913) et de physique quantique. Ces champs accompagnent toujours les ondes électromagnétiques (EM). On les appelle aussi « champs de torsion »ou « champs scalaires ». Les champs EM sont mesurables, ils ont une intensité et une fréquence ; les champs de torsion ont aussi une intensité mais ne sont pas physiquement mesurables, seul l’instrument biologique qu’est le pouls peut les évaluer.
Ces champs de torsion, non EM, sont en relation avec les « spins » ou rotations des particules élémentaires sur elles-mêmes. Ces champs de torsion correspondent à des tourbillons qui émanent de « l’Energie du vide quantique », Zéro Point Energy (ZPE) ; dans celui-ci les photons et les corpuscules virtuels interagissent sans cesse entre eux ; ces transformations sont inobservables car elles se feraient dans un temps inférieur au temps de Planck (tP = 5x10 puissance -43 sec).
Comme la rotation de chaque particule sur elle-même, au sein d’un noyau atomique, est permanente, les champs de torsion provenant de toutes les particules ne cessent jamais.
Il existe des champs de torsion Droits et des champs de torsion Gauches dont les sigles sont cdtD et cdtG. Ces champs de torsion sont spécifiques des atomes ou des molécules dont ils sont la signature.
Sur le plan physique, ces CDT, contrairement aux champs EM, ne sont pas arrêtés par les cages de faraday ni par la distance. Leur structure serait longitudinale, contrairement aux ondes EM qui sont transversales.
Les CDT ont été bien étudiés par les physiciens russes Kozirev (académicien, astrophysicien), Anatoly Pavlenko (références infra). L’étude théorique de ces champs trouve une certaine limite : ils peuvent être enregistrés mais non identifiés avec des appareils électroniques. Les Russes disent avoir montré le pouvoir délétère des cdtG en biologie (embryologie, cultures bactériologiques sur boîtes de Pétri, production laitière). Au vu de ces résultats, ils pensent que les cdtG intenses contrarient le bon fonctionnement des ADN de la biosphère. Ils ont mis au point un dispositif anti-cdtG, le Spinor II, vendu en France sous le nom de Geodd (site Internet : http://www.geodd.com).
Bien qu’aucun appareil de mesure des champs de torsion n’existe, les CDT sont objectivables de manière indirecte.
La méthode de
Jean Uguen et Alexandre Rusanov. Elle repose à la fois sur un dispositif à cdtG et sur un Geodd inverseur de cdtG en cdtD. Lors de la découverte d’un cdtG très nocif à la campagne, ils placent sur la source du cdtG leur dispositif (à cdtG !) et le Geodd au-dessus. Cette méthode est cliniquement efficace sur le cheptel qu’ils ont à protéger mais physiquement peu claire. Quand les deux instruments sont empilés, on note, au repos, que le cdtG et le cdtD de chacun est
neutralisé par l’autre, aussi bien en avant qu’en arrière de la pile ; ceci semble évident.
En revanche, quand les deux appareils empilés sont devant ou sur une forte source EM sous tension, riche en cdtG, le Geodd émet un fort cdtD, conique.
Quelle explication donner ? En faisant le produit du cdtG du dispositif et du cdtG de la face postérieure du Geodd, on aboutirait à induire un cdtD (-a) (–b) = +ab ; l’explication simpliste semble fonctionner. A ceci près que ce cdtD résultant peut être un « poison biologique » ; mais on peut aussi penser que ce cdtD nocif est réorienté vers un espace évitant le cheptel, ou bien concevoir que le cdtD émergent est non spécifique. La question reste ouverte.
Pour ceux qui désirent approfondir le sujet, nous vous conseillons de vous référer aux travaux des auteurs suivants :
Dr Nicolai A. Kozirev 1
Dr Nicolai A. Kozirev 2
Anatoly Pavlenko1
Anatoly Pavlenko 2
Christian Lorin
Alexandre Rusanov dans la Revue du GREF,
La source de liens la plus riche est ici :
Lien 1
Lien 2
Lien 3
Nous allons maintenant objectiver ces CDT de manière directe avec le pouls de Nogier.
Approche pulsologique des Champs de torsion (CDT).
http://www.remedes-numeriques.com/images-contenu/Tr%C3%A8fle%20d%C3%A9finition.png
Ces CDT ont bénéficié de l’instrument biologique qu’est le pouls qui confirme nettement leur existence.
Un intermédiaire majeur a dû cependant être trouvé. Cet instrument est le« nœud de trèfle » que nous avons largement décrit (Pulsologie Chap.6 – 1 nœud de trèfle) et que nous avons emprunté à
Christian Lorin (références supra). Il existe deux nœuds de trèfle (constructions différentes), le Droit et le Gauche.
Insistons un peu sur la construction de ces trèfles ; ils doivent être faits d’un fil métallique. On peut les faire avec du gros fil électrique de cuivre, mais il ne faut pas employer de fil torsadé (toron). Le trèfle est en effet un ruban de Moebius et un Tore.
Nous utilisons aussi bien le trèfle D que le trèfle G et souvent les deux ensembles.
Détection.
Le trèfle G nous a permis d’avancer dans l’étude des cdtG les plus intenses, ceux que les CEM engendrent. Le trèfle G nous a incités à décrire leur
diffusion dans l’espace : sous forme de tunnels ou de cônes ou de plans ou dans toutes les directions.
Le trèfle G permet de déceler les cdtG qui émanent des
appareils électriques sous tension telles les tubes cathodiques, les Wi-Fi, les Micro-ondes, les antennes-relais, ou ceux qui sont engendrés par les Neutres électriques.
Les trèfles D et G repèrent aussi les CDT qui proviennent des champs telluriques naturels (dont l’eau est peut-être l’origine).
Note : Pour ma part, je les perçois mieux avec les trèfles seuls, sans ODCO autour de mes médius.
Le trèfle permet aussi de déceler les
sources endogènes, non liées aux sources EM, provenant des substances elles-mêmes.
Les CDT existent en pharmacologie. Qu’ils soient naturels ou de synthèse, les médicaments émettent des cdtD ou G. Ces champs de torsion portent l’information des Biochamps.
Faut-il corriger les cdtG ?
Nous avons très longtemps, trop longtemps considéré que les cdtG émanant des CEM ou telluriques comme les Neutres électriques étaient nocifs. Les erreurs ont été multiples. D’abord nous avons pu assimiler ces CDT à des champs biologiques, ce qui n’est plus le cas.
Nous verrons pourquoi.
Ensuite, s’il est vrai que le champ émanant d’un Neutre électrique est nocif pour l’être humain, le
CDTG qui en émane est-il le responsable ? Ou faut-il remonter en amont vers le CEM ?
En l’occurrence, les CEM qui sont situés en amont seraient responsables. On les retrouve dans les fils de terre, ils parcourent toute éolienne ou tout paratonnerre. Mais il existe aussi des CDTG sans CEM d’amont…
Le dispositif à Geodd est censé inhiber sinon neutraliser les CEM nocifs des écrans de TV. Mais cela étant, il modifie les CDT qui en proviennent et les Biochamps qui en émanent.
Le Geodd n’étant pas assez puissant, on peut user d’une autre méthode : le fil sous tension muni d’un ODCO qui semble aussi filtrer les CEM trop puissants…
Mais une question se pose :
tous les CEM sont-ils nocifs ? Bien des fois, j’ai pu, pour ma part, constater que certains films télévisés ne m’irritaient pas les yeux et que d’autres le faisaient (conjonctivite très prurigineuse). Tout dépend en effet des CEM et des CDT émis mais aussi des
Biochamps négatifs qu’ils sont capables de transférer.
On peut donc dire que les CDT ne sont qu’un élément de la chaîne du transport de l’information, cela vaut autant pour les cdtG que les cdtD.
Dans ma salle d’examen.
J’y ai découvert un CDTG provenant d’un neutre électrique. Il se présente sous la forme de deux failles orthogonales (comme un point d’acupuncture). Il suffit de repérer avec un trèfle gauche ces lignes et de trouver le
point d’intersection sur lequel un Geodd est posé à demeure. Ceci suffit à faire disparaître la faille, à dériver, diffuser le CEM voire le champ magnétique sous-jacent qui en émane.
J’ai utilisé ce même système chez des jeunes personnes insomniaques dont le lit chevauchait un tel point de Neutre électrique. Après pose du Geodd, le sommeil revenait très rapidement.
J’ai, un temps, porté des verres Varilux qui émettaient un cdtG ce qui modifiait mes observations. La solution fut simple : une cordelette liée aux branches passait derrière ma tête et ce circuit fermé fit disparaître la gêne ; exposer les verres à un Biofilm de Labradorite aboutit aussi à leur dépollution.
Substances médicinales à CDT D ou G
Les substances biologiques et médicinales émettent des cdtD ou bien des cdtG. Ces CDT sont l’interface qui porte l’information de la substance vers l’organisme.
La mesure des cdtD se fait avec la face droite d’un trèfle D ou avec un T BN inféré numériquement en cdtD.
Ce survol révèle aussi deux choses curieuses valables pour toutes les substances : les CDT émanent soit uniquement du centre de la substance (X),soit se répartissent en halo autour de la substance (O). Ces modes d’expression des champs X et O correspondent aux
champs sexués féminin et O masculin.
Les remèdes homéopathiques dérivent de diverses substances d’origine animale (venins), surtout végétales, mais aussi minérales (sels ou métaux). Quels qu’ils soient, ces substances médicinales émettent des champs biologiques, via les cdtD ou G.
Supports à CDT Gauches prédominants
Supports vierges pollués.
Nous avons affaire ici à des cdtG très faibles,
labiles, liés à la nature plastique des supports. Mais comme ils sont en contact direct avec la substance biologique contenue, ils doivent être des modèles de neutralité, du moins au cours de l’examen.
Sur100 sachets Minigrip vierges, il y en a 20 dont émane un cdtG ; et la répartition de ces sachets défectueux, bien que vierges, est totalement aléatoire et la puissance du cdtG est très variable de l’un à l’autre.
Sur100 Anneaux-Tests (AT), il y en a 30 / 100 en cdtG aussi variables. Les Anneaux-Tests sont en effet constitués de trois éléments : les plaques transparentes et la rondelle de contention ; il suffit qu’un des 3éléments soit pollué pour que l’ensemble en pâtisse. Cette notion de pollution intrinsèque s’étend à tous supports tels que les Blisters ou bien les tubes de remèdes homéopathiques (10/100 pollués).
Médicaments pollués
Les médicaments ne sont pas au-dessus de tout soupçon.
Souvent, au cours de leur manutention et surtout de leur transport en voiture, les médicaments sont pollués par les champs magnétiques issus de
l’alternateur de la voiture. C’est dire la malléabilité aussi des vertus médicinales.
Si on introduit un tel médicament pollué dans un Minigrip pollué, adieu à la fiabilité de l’examen ! Même une substance à cdtD peut virer au cdtG. L’information biologique qui en résulte est très compromise.
La dépollution de ces cohabitations alambiquées est donc impérative.
Malades pollués.
En sortant de sa voiture ou d’un transport en commun électrique, tout malade qui vient en consultation est plus ou moins pollué à son arrivée. J’ai coutume de l’exposer à un Biofilm de Labradorite pendant une minute ou plus (selon son pouls) avant de prélever sa salive.
L’exposition à la Labradorite numérisée amplifiée.
Par hasard et par bonheur la Labradorite est venue à notre secours. La Labradorite est un cristal émettant, entre autres champs biologiques, un champ CDT D&G équilibrés et non spécifiques. Sous forme numérisée, il nous permet de neutraliser les cdtG induits, sans altérer les cdtG naturels. La dépollution de chaque « médicament-support » est nécessaire de manière systématique et isolée avant tout examen et surtout avant tout enregistrement.
Enregistrement numérique des champs de torsion
Nous dirons peu de chose sur ce sujet qui ne peut intéresser que les Pulsologues.
Sur les logiciels audios, on peut naturellement afficher la bande passante d’une composition musicale sonore. Mais on peut aussi afficher celle des enregistrements silencieux de substances médicinales, comme ceux que nous proposons.
Nature des CDT ?
Les champs de torsion sont-ils de nature ondulatoire ? Probablement pas ; voici quelques éléments de réponse.
Les CDT reposent sur les trèfles et le pouls purement biologique ; ce sont les deux instruments de mesures principaux.
A partir de deux trèfles D et G placés horizontalement sur une table et agissant en synergie, on peut obtenir, par glissement d’un trèfle, des
sites de résonance au pouls. Les distances qui séparent les sites sont très variables ; ce ne sont pas des points d’interférence régulièrement répartis en réseau. Si ce trèfle horizontal est glissé, surélevé sur un axe vertical, la résonance perdure. Le site de résonance n’est donc
pas un point mais un axe vertical.
Ils sont formatés de manière géométrique en cônes, en tubes…ou en
plan (expériences des deux SW parallèles et très éloignés contenant un même médicament…). Ils ne peuvent être irréguliers(bombés).
Ils ne sont
pas observables par les instruments de physique classiques qui, eux, sont tous de nature ondulatoire.
Ils sont perturbés par les champs magnétiques
mais non par les CEM.
Ils peuvent émaner des CEM mais ils sont indifférents aux cages de Faraday.
Alors que les CEM se propagent de manière
transversale, les CDT ont une propagation longitudinale. Cette propagation
longitudinale évoque celle du son. Et c’est pourquoi l’idée d’utiliser un micro pour enregistrer ces CDT émis par les substances matérielles s’est montrée judicieuse.
Même s’ils sont portés par les CEM, les CDT n’ont besoin d’aucune énergie pour diffuser dans l’espace ; alors que les CEM ont une portée variable qui dépend de leur énergie d’origine, les CDT n’en ont pas, ils ne déclinent pas avec la distance.
Ils sont bipolaires, D et G. Les CDT seraient-ils des
champs quantiques semi-matériels?
Ils portent les Biochamps, bipolaires eux aussi, mais
immatériels.
Les CDT semblent donc être l’interphase entre les CEM ondulatoires et les Biochamps non ondulatoires qui, sinon, interféreraient et seraient désinformés rapidement dans cet océan de CEM qui nous baigne. Sans eux l’étude des Biochamps via un ordinateur serait-elle envisageable ?
CDTD et CDTG sont inséparables
Il n’y a pas de CDT pur en pharmacologie. Tout cdtD s’associe à un halo en cdtG ou à un axe central très fin qui est un cdtG et inversement pour tout cdtG.
L’axe central cdtG est le mode d’expression du champ de torsion en phase oscillante, quand les deux trèfles sont dans le champ réalisant un effet bipolaire.
Si la mesure est faite avec un TBN avec CDT unipolaire induit, (les deux trèfles étant éloignés ou neutralisés par superposition) c’est le halo du champ de torsion qui est inverti.
De même, tout être humain émet des cdtD purs (chakras) ; mais en même temps il affiche des cdtG permanents localisés sur la couronne occipito-maxillaire et ces cdtG doivent être respectés.
Idem en musicothérapie, le cdtD de la bande passante est compensé par un cdtG sur tout le halo du logiciel audio ; ce cdtG peut être inhibé par un cadrage de Labradorite.
Pour conclure
L’entrée de ce nouveau paradigme biophysique que représentent les Champs de Torsion est d’une grande importance.
Non seulement la Pulsologie nous permet de vérifier l’existence théorique des champs de torsion, mais à l’inverse ces CDT nous ont permis de faire un bond en avant, vers les Biochamps.
La lutte contre les cdtG excessifs et trop puissants nous a apporté beaucoup en terme de purification environnementale ; l’étude du packaging des produits pharmaceutiques en dérive ; révélons simplement que presque tous les médicaments, distribués par les
pharmacies modernes, sont imprégnés plus ou moins fortement par des cdtG acquis lors de leur transport, et seul le Pulsologue peut en rendre compte.
Sur le simple plan thérapeutique, il est fort judicieux de ne travailler qu’avec des remèdes dépollués.
Il faut aussi savoir que les points d’acupuncture sont constitués entre autres des points de torsion.
Toutes ces recherches fondamentales, commencées il y a 30 ans et menées depuis 15 ans à temps plein, ont eu le mérite de conforter sans cesse notre vision initiale d’une Pulsologie trop subtile pour qu’on puisse faire l’impasse sur les conditions environnementales : les champs informatifs plus ou moins spécifiques issus du milieu exogènes. Par ailleurs, les champs informatifs endogènes (émanant des substances pharmacologiques ou des substances inertes qui nous entourent) se caractérisent par
leur caractère malléable, imprégnable de façon plus ou moins temporaire. Ces études nous ont conduits à la notion de pollution et à la recherche permanente de procédés efficaces de dépollution. Ne doutons pas que toutes ces sources de pollution sont sûrement à l’origine de quelques problèmes rencontrés par J. Benveniste et L. Montagnier au cours de leurs expériences répétées dans des milieux saturés en champs magnétiques, CEM et cdtG intenses.
Ces conditions étant acquises, il devient nettement plus performant de faire des recherches de points d’acupuncture ou de remèdes en tablant sur des phénomènes de résonance à partir de structures isomorphes, les sandwichs salivaires mais aussi à partir des trèfles D et G, véritables résonateurs adaptés aux CDT. Dans ce domaine, les contraintes géométriques liées aux champs de torsion sont étudiées à : « Présentation sous forme plane des CDT et des CIB » (Pulsologie Article 6).
Les conditions environnementales étant acquises, nos points d’acupuncture (sur corps et oreilles) sont des points d’emblée spontanés et non influencés ni composites. Lors des tests de remèdes, nos résonances au pouls émanent en finale de substances étroitement spécifiques, ciblées et aussi pures que possible.
3/ CIB
Introduction
Les Champs Innominés Biologiques (CIB), je les ai pratiqués pendant quinze ans sans vraiment appréhender leur nature.
A l’origine, je les ai décrits comme des champs électromagnétiques (EM) cutanés. Tout le revêtement cutané se trouvait divisé en 32 champs disposés en damier. Leur description reposait sur le pouls et des instruments EM spécifiques : les Anneaux-Test Spiralés Unipolaires (ATSU), Droit ou Gauche selon le déroulement horaire ou antihoraire de la spire à partir de son centre.
La description de ces champs EM révéla l’existence de deux types de damier, l’un à disposition D et l’autre à disposition G. Chaque patient appartenait de manière assez constante à un seul de ces deux types. Ceci nous conduisit à attribuer une latéralité D ou G à chaque individu. Globalement, il y a autant de sujets D que G.
Cette observation fut confirmée lorsque l’étude des salives des malades fut entreprise. Chaque salive est placée dans un sandwich isomorphe pour « formater » de manière spécifique son information. Ce sandwich salivaire est placé près de la tête du malade. Or, dès le départ, il s’avéra que, pour pouvoir travailler avec un pouls silencieux de base, le SW salivaire devait être à droite ou à gauche de sa tête. La latéralité salivaire correspondait ainsi à la latéralité du damier cutané du sujet examiné.
Question majeure ; quelle est la nature exacte de ces champs cutanés et salivaires qui déterminent la« latéralité » d’un patient ? Quelle est l’essence de ces« champs innominés » ?
La Latéralité des salives.
A la lumière de nos avancées sur les Champs de Torsion, nous avons tenté d’établir des liens entre ces Champs de torsion et les Champs cutanés.
Aucune résonance ne peut être obtenue entre un Champ Cutané et les Trèfles.
Il est impossible d’imaginer que ces champs cutanés soient purement EM, seulement sensibles aux seuls ATSU, qu’ils soient purement physiques.
Un problème parallèle, distinct et cependant connexe, se fit jour dans le cadre des salives pathologiques. La latéralité de certaines salives était
difficile à définir. La méthode principale consiste à prendre le sachet salivaire entre pouce et index droits et à le transférer soit à droite soit à gauche de mon corps pour trouver le côté où le pouls fait silence ; s’il fait silence à ma gauche, je définis la salive comme étant gauche. Or dans certains cas, cette différence entre le côté silencieux et le côté « oscillant » ou « bruit de fond » était difficile à distinguer et les ATSU n’étaient d’aucun secours.
Certes, je sais que dans certaines pathologies aiguës, certaines intoxications iatrogènes fortes, la latéralité d’un malade peut temporairement basculer, s’inverser. Se trouvait-on dans une interphase de bascule ? Mais pour les salives qui me posaient problème, ces cas extrêmes étaient hors de cause.
La pollution de ces sachets salivaires devenait la préoccupation première. Si je disposais de techniques numériques pour dépolluer les champs de torsion gauches des sachets contenant les salives,
je n’avais pas de procédé pour discerner la latéralité émoussée de la salive elle-même.
Le recours à des procédés numériques s’imposa à moi. Je devais tenter d’amplifier ces champs qui définissent la latéralité. Pour ce faire je pris une pile de trente salives droites nettes et une autre de trente salives gauches nettes ; et j’enregistrais chaque pile. Après mixage de toutes les salives droites, le mélange mis en lecture, émettait un fort champ Droit ; idem avec le mixage des salives gauches qui émettait un fort champ gauche.
En regard des deux dossiers numériques activés, encore dénommés EM D et EM G, faute de mieux, les salives réelles mal latéralisées, mal différenciables se mirent à résonner de façon nette et leur latéralité fut enfin évidente car amplifiée par les
champs EM D ou G de référence leur faisant face et les révélant à elles-mêmes.
Ce procédé fut très utile pour classer les salives dans des groupes D ou G distincts. Ces groupes eurent aussi l’avantage d’entretenir (par contact de voisinage) la latéralité des anciennes salives défaillantes.
On peut imaginer que ces salives défaillantes avaient été polluées par la cohabitation prolongée avec des salives de latéralité opposée. Il ne faut jamais sous-estimer la labilité informative. Même si l’information salivaire est potentiellement intacte, son expression « cinétique » peut être brouillée par contact prolongé avec des champs de latéralité contraire. Mais heureusement l’information potentielle initiale est récupérable.
Les Champs Innominés cutanés.
Les champs numérisés « EM D et EM G » constituèrent le premier instrument capable de bien mettre en relief la latéralité profonde d’une salive. Mais ils ne servaient pas à grand-chose pour confirmer la nature des 32 champs cutanés en damier, révélés par les ATSU.
Connaissant la malléabilité des matières plastiques et leur capacité à se polluer ou à être dépolluées en regard des champs informatifs (champs de torsion en particulier), me vint l’idée d’exposer un crayon feutre en plastique à l’émission d’un champ numérisé« EM D ». Assez rapidement, ce feutre se transforma en détecteur de salives à latéralité Droite. J’avais enfin un instrument
non EM capable de définir un champ de latéralité D. Je fis de même avec un autre feutre et obtins un détecteur de champ de latéralité G. Ces deux détecteurs m’offrirent alors la possibilité de constater que les 32 champs cutanés n’étaient pas EM, que 16 étaient D et 16 G et tous répartis en damier.
Ces constatations m’incitèrent à abandonner l’appellation « Champs EM D et EM G » et à les rebaptiser« Champs Innominés cutanés D et G ». La disposition en damier de ces champs était cohérente avec la latéralité salivaire.
Le crayon feutre à deux Windsor.
Les crayons feutre en pastique, induits, inférés en détecteurs de salives D et G de manière numérique, ne pouvaient être que des instruments transitoires, ils pouvaient spontanément et lentement se désinformer…sauf à les réinformer par exposition comme initialement.
Ces feutres détecteurs, non EM, n’avaient aucun équivalent. Aucun des instruments utilisés dans le cadre des champs de torsion n’entrait en résonance avec eux.
Ils ne voulaient bien réagir, en dehors des champs biologiques salivaires et cutanés, qu’avec les ATSU…a priori purs instruments EM, plutôt miroirs inertes qu’amplificateurs !
Je fus donc en recherche d’un instrument spécifique, permanent, ciblant les
Champs Innominés Biologiques (CIB) et doué d’une assez bonne puissance.
Comme toutes mes recherches précédentes avaient beaucoup bénéficié de l’étude de nœuds divers (nœuds de trèfle, nœuds Borroméens, double demi-nœuds), c’est dans cette direction que j’axais mes investigations. Avec mon feutre induit en CIB Droit, placé en regard de tous les nœuds que j’analysais, un seul me donna une forte résonance. Il n’avait aucune configuration mathématique. C’était le nœud de cravate de type Windsor. Ce nœud, aussi inattendu que trivial émettait un bon CIB D !
Je construisis deux nœuds pour obtenir plus de puissance. Ces deux nœuds furent placés en parallèle (face à dos) au milieu d’un crayon feutre. Et ce feutre devint un véritable instrument de mesure des CIB. En effet il a la particularité d’émettre un CIB Droit à une extrémité et un CIB G à l’autre extrémité. Il est donc bipolaire comme un aimant. Et, comme un aimant, il peut avoir un effet délétère sur le champ ambiant en induisant des oscillations lentes au pouls. Ainsi donc, quand il est hors service, un des deux nœuds est inversé : les 2 nœuds sont face à face et se neutralisent.
Particularité à noter : pour être efficients, ces nœuds de cravate doivent être complets : le crayon joue le rôle du cou, les deux pans de la cravate ne doivent pas être coupés ni supprimés.
En fonction, ce feutre à 2 Windsor (WW) établit très facilement la latéralité de toutes les salives et des divers champs cutanés. Mais surtout il me permit de constater que toutes les substances biologiques sont toutes douées de latéralité.
Champs Innominés Biologiques et Médiumnité.
Le pouls de Nogier m’a permis de découvrir que les Biochamps informatifs sont étrangers à l’électromagnétisme, qu’ils sont subtils, malléables, labiles, formatables (champs morphiques) et relèvent des champs de torsion, de la biophysique plus que de la physique pure.
Cette approche m’a valu d’être taxé de déviationniste.
Le pouls de Nogier serait un instrument exclusif de l’auriculothérapie.
Faute inacceptable, je faisais flirter le pouls de Nogier avec la radiesthésie voire la "radionique" en raison de la notion de champ de forme qu’illustrent les sandwichs isomorphes salivaires.
Certains affirment que Paul Nogier leur aurait « apporté la certitude » que son pouls dynamique n’avait aucun rapport avec la radiesthésie. Curieusement, cette justification n’a jamais été confirmée.
Pour réfuter ces assertions, je n’eus aucun mal à me distinguer des radiesthésistes. J’étais incapable de déceler une source d’eau, incapable de percevoir le réseau de Hartmann. Pendant toute ma carrière médicale, j’ai été en contact avec des radiesthésistes passionnés qui tentèrent en vain de me faire ressentir avec leur baguette de coudrier ce qui leur semblait évident. Bref je n’avais aucun talent.
Mais depuis cet épisode, j’ai découvert les CIB… et le feutre à 2 Windsor. Cet instrument étonnant m’a alors conduit, via le pouls de Nogier, dans l’univers de la médiumnité.
Si je survole la photo d’un radiesthésiste connu : l’Abbé Bouly, l’inventeur du mot« radiesthésie », avec la pointe D du feutre WW, le pouls détecte de nombreuses Pulsations, 140 VAS. Avec la pointe G, Pierrounet un magnétiseur célèbre de Lozère donne 130P ; Idem pour Philippe Vachod qui émet 190 VAS.J’en ai mesuré bien d’autres grâce à Google.
Une constante commune lie les radiesthésistes, les magnétiseurs et les clairvoyants : ils émettent tous des CIB intenses entre 100 et 200 VAS ; les uns sont D les autre G. Je pense que seul leur apprentissage les oriente vers telle ou telle spécialité.
Les plus extraordinaires se trouvent parmi les mystiques chrétiens, particulièrement chez ceux qui endurent chaque fin de semaine les stigmates des plaies de la Passion du Christ…et les terribles souffrances qui en découlent. Ils émettent entre 240 et 300 VAS.
Si je m’analyse, je ne compte qu’une seule pulsation de CIB ! Je n’ai donc aucun talent comme je l’ai dit. Mais grâce au feutre à WW, je peux dorénavant obtenir une résonance devant un écoulement d’eau…et capter enfin les mailles du réseau de Hartmann.
Ne pas interférer dans les protocoles expérimentaux n’est pas un problème mineur. Avec une seule pulsation de CIB D, je suis un témoin assez neutre dans mes mesures pulsologiques. En revanche, la photo de Paul Nogier permet de constater qu’il émet 40 CIB G ! Ses talents de magnétiseur n’étaient donc pas nuls, loin s’en faut. Et quand il passait une petite heure à examiner les oreilles d’un malade tout en faisant diverses expériences, était-il une bonne référence, un bon témoin expérimental ?Son magnétisme naturel n’agissait-il pas, peu ou prou, à son insu ?
Pour conclure
Une fois encore c’est la mise au point
d’instruments nouveaux qui m’ont fait progresser dans la recherche et ont fait bouger les lignes théoriques. Depuis les ATSU, les cristaux de Labradorite, les trèfles résonateurs, les détecteurs biologiques, les amplifications numériques, jusqu’au feutre à WW, j’ai pu parcourir et étudier les champs purement biologiques qui s’affranchissent des concepts EM et des théories ondulatoires.
En pratique, il y a équivalence entre Champs innominés Biologiques et Champs de Latéralité.
Les
Champs Innominés Biologiques qui comprennent les champs de latéralité cutanée et salivaire, mais également les champs médiumniques sont des apports décisifs qui relient le pouls de Nogier, nolens volens, à la radiesthésie si décriée et cependant si étudiée par Yves Rocard qui fut le directeur du laboratoire de physique de l’ENS, rue d’Ulm.
Il serait intéressant d’étudier la réactivité exceptionnelle du réseau artériel des radiesthésistes. Sans doute le tressaillement des artères de leurs mains, avec composantes longitudinales ou transversales, jouerait un rôle déterminant dans les mouvements de leur baguette ou pendule. Ce tressaillement aurait intéressé le Pr René Leriche.
4/ Remèdes numérises
Introduction
Les remèdes numériques sont des enregistrements Audio silencieux réalisés au contact des substances médicinales. Dans ce silence se cache une information très particulière qui n’a aucune des caractéristiques d’une onde ElectroMagnétique (EM).
Le cœur de cette information est constitué par des
Champs Biologiques : Champs E et F, Champs Innominés Biologiques (CIB) de Latéralité, Champs médiumniques.
Les Champs Biologiques
Définition.
Les Biochamps sont des entités immatérielles ; ils ne sont pas dépendants de la nature des CEM, ni des CDT qui les portent ; en revanche, ils peuvent être pollués par des CDT G très intenses. Ils peuvent surtout être altérés par des champs magnétiques proches.
Voir ci-dessus > Biologie numérique > simplification des classifications.
Les Biochamps E et F.
Comment ces paramètres, E et F, découverts sur les SW salivaires pathologiques en 5ème position sont-ils parvenus au premier plan ?
Déconcertés par les oscillations des enregistrements salivaires, nous avons émis l’hypothèse que ce phénomène oscillatoire dépendait peut-être d’un axe central de pôle opposé. Nous avons déjà décrit qu’en phase oscillatoire,
tout CDT D est centré par un axe orthogonal en CDTG et inversement. Était-ce vrai pour tous les champs ?
Voulant échapper à cette
éventuelle bipolarité, nous avons entrepris de
n’enregistrer que l’axe central sans le champ lui-même. Mais quel axe, sur quel champ ? Le seul instrument biologique semblait être le
feutre à 2 Windsor bipolaire…
Prenant un SW salivaire dépollué, réel ou photographié, nous avons trouvé un point D par où passe l’axe, via la pointe D du feutre à 2WW.
A l’analyse ce point de la photo est particulier. Survolé par les détecteurs de CDT et le 2WW, on constate que
ce point isolé oscille, il donne 10pulsations au centre suivi de 10 P en halo puis de 10P au centre etc.
Et à l’analyse plus fine du pouls, on note que les 10P sont une suite de pulsations en long et en travers (+1/-1).
Or si ce point axial est survolé avec le
5ème détecteur, le stylo EEE ou FFF, il est stable, fixe et perdure.
Critique. Ce point axial isolé oscillant est perverti dès le départ. D’abord il est détecté avec un instrument bipolaire (le 2WW) et de plus, sa qualité d’axe central signe le système oscillant dont il est la composante ! Quant au détecteur FFF, il n’était source d’aucune oscillation pour la simple raison qu’il était unipolaire et que EEE n’était pas dans le champ.
Nous avons posé le micro USB dessus et avons enregistré.
Le résultat fut ce que j’en attendais. Le dossier mp3 était silencieux au pouls vis-à-vis des premiers détecteurs, excepté avec le stylo FFF qui résonnait de manière fixe et continue.
Il est cocasse de signaler qu’au milieu de ces CDT et de Latéralité oscillants, qui avaient tout pour nous perdre, se soit dégagé
ce procédé du point axial, imparfait encore mais prometteur.
Il fut le
début d’enregistrements fixes F ou E en s’appuyant sur de très nombreuses photos de pathologies salivaires et de remèdes homéopathiques.
Les Champs Innominés Biologiques.
Au départ, c’est
l’étude des latéralités salivaires qui nous a conduits vers le
détecteur à nœuds de Windsor; il est le seul instrument réel capable de différencier une salive D d’une salive G et de bien résonner avec les deux champs cutanés en damier du corps.
Or ce détecteur, ce
feutre à 2 nœuds de Windsor, est aussi capable de mesurer les CIB Humains des Médiums que sont sourciers ou magnétiseurs
Certains sujets présentent des ressentis particuliers. En font partie les «sourciers ou radiesthésistes », qui, de tous temps et sous toutes les latitudes, ont eu le pouvoir de détecter des sources d’eau à des degrés divers.
D’autres individus sont aptes à « guérir par magnétisme ». Ces magnétiseurs ressentent et émettent des champs inconnus des physiciens.
Jusqu’alors le pouls de Nogier ne nous avait pas permis de découvrir ces sources d’eau ni le réseau Hartmann ni ces champs inconnus des magnétiseurs.
Depuis peu, grâce à la découverte du potentiel
des nœuds de Windsor, le pouls de Nogier nous offre la possibilité de mesurer ces « Champs Innominés Biologiques»(CIB).
Ces champs de Latéralité sont-ils des Biochamps ?
Ce Champ Innominé biologique, que j’appelle aussi champ de Latéralité, nous a un peu « baladé, lanterné ». Bien que faisant à l’évidence parti des Biochamps, il fut observé longtemps comme un champ oscillant, tel un champ sexué ou un CDT.
Et j’étais responsable de cette méprise.
Le crayon-feutre à 2 nœuds de Windsor, placés en son centre, est un
instrument bipolaire, une extrémité est D et l’autre G. Et comme bien des détecteurs bipolaires (à pile ou à aimant),
il engendre des oscillations au pouls quand il intervient dans les mesures.
Nous avons donc enregistré chaque pôle séparément et avons obtenu deux Biofilms, un DD et un GG. Chaque Biofilm a donc pu induire
un stylo en plastique monopolaire, un stylo DDD et un autre stylo GGG.
Ipso facto nous en revenions presqu’au point de départ (l’enregistrement d’une pile de salives D et celui d’une pile de salives G).
Un problème émergea.
Prenant un SW salivaire dépollué, réel ou photographié, nous n’avons pas retrouvé de point DDD par où passe l’axe orthogonal, avec le stylo DDD comme l’avait révélé la pointe D du feutre à 2WW !!!
Comment pouvait-il ne pas exister de Biochamp DDD ?
Reprenant cette fois-ci l’analyse des Bandes Passantes BP Audio des enregistrements F, nous avons alors remarqué ceci : sur cette BP,
le détecteur monopolaire DDD trouvait un axe vertical DDD fixe quelque part dans le Biochamp F occupant la plage.
Le micro fut placé sur cet axe vertical et l’enregistrement donna un Biochamp DDD fixe.
Ce
champ de Latéralité ou CIB était donc un vrai Biochamp par sa stabilité.
Les champs Médiumniques.
Nous venions de passer des Biochamps F aux Biochamps DDD. Les F contenant les DDD, nous nous sommes demandé si les Biochamps DDD ne présentaient pas eux aussi un axe vertical, qui serait la source d’un troisième Biochamp ? Nous aurions alors des Biochamps
en poupées russes.
Encore fallait-il disposer d’un détecteur particulier pour mettre en évidence un tel axe !
Nous avons montré que le feutre à 2WW nous avait permis d’accéder au monde des sourciers et des magnétiseurs. Notre nouvelle étape de recherche devait donc avancer dans cette voie. Et c’est l’enregistrement des
Biochamps des Médiums célèbres que nous entreprîmes.
A partir de leurs photos nous avons extrait les Biochamps F puis, à partir des BP des F, nous avons enregistré les axes verticaux et avons été en possession des Biochamps CIB de 41 Médiums que nous avons mixés pour obtenir un Biofilm « 41M ». En exposant un stylo à ce
Biofilm 41M nous avons obtenu un détecteur un
stylo 41M.
Et c’est ce dernier stylo qui nous a permis de trouver, en effet un axe vertical sur les BP des Biochamps DDD. Cet axe vertical fut donc enregistré et fut donc à l’origine des
Biochamps 41M.
Au total, nous avons trois Biochamps stables.
Ces trois Biochamps émanent les uns des autres comme les poupées gigognes. Ils n’oscillent pas, ils sont donc fixes.
Ils ont une qualité intéressante :
ils ne sont pas polluables par les CEM. Seuls les champs magnétiques peuvent altérer l’information qu’ils portent.
Quelle est la hiérarchie de tous les champs que nous avons étudiés depuis le début de nos recherches ?
CM < CEM< CDT <O&X <
E&F < LDG < 41M ;
Les champs magnétiques CM et les CEM sont purement physiques; les champs de torsion CDT, qui sont porteurs des Biochamps sont semi-matériels ; les champs sexués O & X sont Biologiques mais assujettis à des oscillations lentes intrinsèques (couples de chromosomes homologues maternels et paternels). Par railleurs les champs sexués émanent des seules salives et non des substances pharmacologiques.
Seuls les trois derniers sont des Biochamps stables, de nature immatérielle probable. Ils proviennent autant des salives que des substances médicinales.
Quelles sont les fonctions de ces trois Biochamps ?
Nous devons d’abord
distinguer les Biochamps F des E. Notre pratique nous montre que les Champs F sont favorables car ils pulsent en long alors que les E sont plutôt néfastes car ils pulsent en travers. Idem pour les Biochamps DDD favorables et GGG nocifs.
L’informatique nous apporte une aide inattendue. La simple copie d’un Biofilm E, le transforme en F ou inversement. Idem pour les copies des Biofilms GGG et DDD. Ceci est très important car,
dans une liste alphabétique de maladies ou de médicaments, tous les éléments doivent être F ou DDD, sinon les tests s’en trouvent faussés.
Au plan thérapeutique, il existe une opposition d’effet entre les F et DDD d’une part et les 41Md’autre part. Les deux premiers sont plutôt dispersants, calmants et le
41M tonifiant.
Au niveau des tests de remèdes, faits avec le stylo idoine, vis-à-vis d’un SW salivaire, 3 remèdes sont toujours trouvés, ils forment un trinôme quelle que soit la longueur de la liste. Les deux premiers pulsent en travers et
seul le dernier pulse en long; c’est de dernier qui doit être prescrit.
Il est étonnant de remarquer que le premier remède résonne
surtout avec le stylo F, le second
surtout avec le stylo DDD et le troisième
surtout avec le 41M. Il est aussi remarquable de noter que, dans une liste de remèdes numériques activés,
il est nécessaire que le premier soit désactivé pour que le second se manifeste; de même, le second doit être désactivé pour que le troisième soit identifié. On retrouve donc le phénomène de poupée russe conformément à la hiérarchie de nos champs et à la chronologie de leur mise en évidence.
Le détecteur 41M².
Le dernier des Biochamp, le 41M, affiche-t-il un axe vertical ?
Avec le stylo 41M parcourant la bande passante de ce Biochamp, nous avons encore trouvé un axe vertical. Nous l’avons enregistré et, après amplification, établi un Biofilm nommé 41M². Celui-ci représente un condensé du mixage des 41Médiums.
Ce Biofilm a naturellement engendré un
stylo41M². Ce stylo se montre capable de résumer les 3 premiers stylos des 3 Biochamps.
Le détecteur 41P².
Le premier détecteur 41M fut issu du mixage des axes DD enregistrés des visages de 41Médiums célèbres. Chacune des bandes passantes représentait un
Biochamp DDD.
Nous avons alors repris ces enregistrements à partir du point du visage détecté avec le stylo 4M². Ce point est le même pour tous les Médiums et est situé à la racine du nez.
L’enregistrement de tous ces points nous a donné un Biochamp Pur. Et le mixage des 41 Purs est à l’origine du
Biochamp 41Pur.
Après induction d’un nouveau stylo 41Pur, nous avons mis à jour un ultime axe vertical de BP sur la BP 41P et, après enregistrement, cet axe est à l’origine du Biochamp PurPur d’où découle de stylo 41PurPur ou 41P², très puissant.
Enregistrement d’un remède homéopathique.
Le procédé est assez simple. Sur un fond d’écran, fait d’un Biofilm de Labradorite, nous affichons la
photo d’un tube homéopathique.
Avec le seul stylo 41M² nous trouvons un premier point sur le tube que nous marquons ; cette marque suffit à faire apparaître un second point, marqué à son tour ; ce qui suffit à nous révéler alors le troisième point marqué lui aussi.
Les deux premiers points pulsent en travers et le 3ème en long.
C’est sur ce 3ème que nous ajustons, au pouls, le micro (qui entre en contact direct avec l’écran).
Après enregistrement et amplification, nous avons un dossier
mp3 qui représente le remède homéopathique dans toute sa pureté, les deux premiers points étant exclus..
Ce trinôme de points que je trouve aussi avec les médicaments chimiques, allopathiques, reste intrigant dans le cadre de l’homéopathie censée elle-même représenter la quintessence de la matière. Cependant, une teinture-mère végétale est à la base des futures dilutions dynamisées, elle comporte les éléments de la plante initiale avec ses molécules bénéfiques et celles qui le sont moins…et tout ceci se retrouve en finale.
Les deux premiers points négatifs de la substance pharmacologique relativisent-ils le 3ème point positif ? Ces deux premiers points sont-ils à l’origine des effets secondaires ?
La question est ouverte.
Malgré tout j’ai trouvé un petit nombre de remèdes homéopathiques qui n’affichent que les deux premiers points mais pas le 41M. L’enregistrement des points F et DDD de ces remèdes aboutit, après mixage, à un Homéopathique « dispersif que je nomme « Calmant » ou « F et DDD ».
Spécificité des substances réelles et numériques.
Les substances réelles.
Les substances stéréochimiques (stéréoisomères) de
chimie organique sont normalement vouées à se marier mécaniquement, par conjonction, avec d’autres molécules jouant le rôle de récepteurs. Les molécules médicinales favorables, dispersées dans l’univers biologique qu’est notre corps, doivent être dirigées, orientées vers ces récepteurs.
Ces molécules biochimiques favorables réelles, porteuses de signatures informatives, sont canalisées vers la cible qui attend leur accointance.
C’est cette information des substances réelles que nous avons formatée, élaguée, captée, numérisée et que nous proposons en exposition sous forme numérique via nos Biofilms.
Les substances numériques.
Pour montrer la
spécificité de l’information de chaque substance numérisée, nous allons nous focaliser sur un seul médicament homéopathique conjugué à toutes ses dilutions (5CH, 7, 9, 12, 15 et 30CH). Chacune de ces dilutions est enregistrée par voie Audio.
Puis vient le moment de l’émission à travers le lecteur « Windows Media » ou «WavePad ». Cette émission se fait essentiellement par l’écran de
WavePad dont on peut activer la lecture dynamique avec retour en boucles.
Si nous «
émettons »une 5CH d’une substance X numérisée, via le visuel et si, en regard de l’écran, nous plaçons cette même substance réelle en 5CH en face de lui, il se produit au pouls une résonance qui peut durer plus d’une minute. Notons au passage un phénomène essentiel : cette résonance ne se produit que devant le cadre du visuel. Si nous écartons de très peu le médicament réel hors du cadre, la résonance cesse. Ce phénomène est caractéristique des CDT porteurs et de leur champ de forme, ici un
tunnel rectangulaire.
Si, ensuite, nous remplaçons ce médicament réel X en 5CH par X en 9CH puis X en30CH, la résonance avec la 5CH numérisée
va en diminuant de l’un à l’autre. Cette diminution de résonance est particulièrement nette dans une première phase de l’exposition.
Toutefois ceci peut changer. En cas d’irradiation trop prolongée, la 5CHnumérique peut modifier la dilution du médicament réel et transmuter la 9 ou la30CH en une 5CH. Ceci est particulièrement vrai avec les granules homéopathiques à base de saccharose et lactose. Ces sucres ont une bonne inférence.
Il va sans dire que si de telles nuances de dilutions sont perceptibles au pouls pour un même médicament, ceci sera encore plus patent avec deux remèdes homéopathiques différents. Si on place un médicament Y en 9CH réel devant un médicament X en 9CH numérisé, le pouls gardera le silence ; idem si nous inversons les substances.
La signature de l’information numérique est donc très spécifique.
Cette
information est également puissante. Nous l’avons dit dans l’introduction : les appareils électroniques émettent à la fois des champs EM et des CDT, assez intenses pour perturber les sujets dits radiosensibles. L’écran du PC est un appareil électronique et il émet un CDTG assez modéré ; ce CDTG ne porte pas de Biochamp. Quoi qu’il en soit, nous avons pour règle de faire tous nos enregistrements et tests sur un fond de Labradorite numérisée qui neutralise ce CDTG électronique « sui generis ».
La résonance décrite plus haut entre le médicament réel et son homologue numérisé, émis par le visuel, est intense.
Mais cette intensité va bien plus loin. Si, nous nous contentons de
sélectionner simplement le dossier mp3sans le lire, nous captons encore une résonance entre ce dossier activé et la substance réelle homologue bien ajustée dans l’axe (perpendiculaire à l’écran) du fichier activé (petit tunnel).
Il faut bien concevoir qu’un fichier activé se comporte comme une « prélecture». A contrario, la désélection de l’icône annule immédiatement la résonance.
Effets cliniques des remèdes numériques
Leur
principal intérêt est d’ordre prescriptif. Quand on trouve une résonance entre une salive et un remède numérisé. Le plus simple est de prescrire ce médicament sur une ordonnance.
Dans un second temps, il est possible de dépolluer le médicament acheté ainsi que de le renforcer par exposition au même remède numérisé.
Intérêt clinique secondaire : le
médicament est en rupture de stock chez le pharmacien ou chez son grossiste. Les remèdes numériques peuvent alors
informer directement un malade dans la mesure où ce remède est parfaitement indiqué. Il s’agit d’une alternative temporaire.
Les remèdes numériques sont censés soigner ou simplement compléter son traitement.
Dans l’action d’un remède réel quelconque, les axes informatifs sont inséparables ; de plus, comment se manifeste son aspect biochimique ? Nous l’ignorons. En homéopathie, la part informative est de 100 pour 100 ; en allothérapie, nous ne pouvons le savoir, mais la partie informative n’est jamais inférieure à 50/100 ; en alicaments (vitamines)elle est probablement de 10 pour 100 (l’information numérique n’est pas nutritive).
Le malade a besoin de cette information capitale pour équilibrer sa balance santé : la maladie en effet peut, a minima, être considérée comme un déséquilibre associant des hypers et des hypos fonctions.
Sur le
plan pratique, l’exposition du malade (de son seul visage placé près de l’écran) à des remèdes numériques (bien choisis) pendant
une ou deux minutes, une ou deux fois par jour, pendant trois ou quatre jours peut suffire à inhiber une pathologie modérée.
Autres avantages du numérique
Stables, non périssables sont les propriétés des substances numérisées.
Réaliser une pharmacothèque numérique enregistrant tous les
anciens médicaments, ayant été retirés de la circulation en raison de leur faible coût, donc de leur faible rentabilité, pour être remplacés par des plus modernes, plus onéreux et parfois guère plus efficaces. Une pharmacothèque nationale devrait exister où seraient conservés tous les médicaments réels radiés pour raisons commerciales, même ceux dont la durée de péremption est assez courte.
L’atténuation des effets secondaires semble être un atout des remèdes numérisés.
Pour chaque substance nous trouvons un trinôme de points, les deux premiers, « nocifs », ne sont pas enregistrés ; seul le dernier point l’est. Les effets secondaires sont-ils liés aux deux premiers ? Ce n’est pas impossible.
Les enfants pourraient profiter des avantages cliniques des médicaments réservés aux adultes. Il n’y a pas de risque de surdosage ni d’addiction.
Si le
remède est mal choisi, il peut présenter un effet « nocif ». Au pire : si un patient a déjà fait un choc anaphylactique à l’aspirine, il se trouvera mal en s’exposant à cette
aspirine numérique, mais la nocivité ne sera que transitoire, il ne fera pas de choc car, ici encore, les effets secondaires sont bridés et l’information transmise est immatérielle.
Il permet d
’entamer un traitement pendant un week-end. Chacun sait qu’obtenir tous les médicaments prescrits un samedi soir est difficile ; ils sont rarement tous disponibles.
En cas de
rupture de stock d’un médicament. Faire appel au remède numérique serait une alternative temporaire… dans la mesure où sa fonction chimique réelle ne serait pas majeure...
Entamer un traitement au loin : en pleine campagne ou au centre de l’Afrique ou au milieu de l’océan. Certes faut-il disposer d’un portable et d’une source d’énergie pour le recharger et d'une antenne. Mais l’action positive de l’écran d’un smartphone, même de faible dimension, n’est pas à exclure car nos remèdes numériques sont des Biochamps indépendants de l’électronique.
Les médicaments onéreux, réservés aux praticiens hospitaliers (en oncologie), on peut fort bien imaginer d’associer des remèdes numériques
pour renforcer l’action des remèdes réels sur la cible.
Pour les homéopathiques, l’information d’un remède numérique peut être transférée sur des
substances réelles. Il est facile de transférer de l’information sur du
Fructose ou de l’eau pure déminéralisée par exposition au visuel du moniteur du PC.
Limites des effets des remèdes numérisés
Corriger les carences n’est pas notre cible.
Nous l’avons déjà dit : nous ne pouvons pas nourrir les patients, leur donner des vitamines qui sont plutôt des
alicaments via des Biochamps numérisés !
Est-il envisageable de remplacer les injections d’Insuline réelle par de l’insuline numérique ?
En revanche, certaines hormones pourraient agir par voie numérique...
Evidemment,
ne prendre aucun risque dans le domaine des pathologies sérieuses. Il est hors de question de
susciter de « faux espoirs » ou de retarder certains traitements.
Mais en «
Bobologie »il est licite de
diminuer un peu la posologie du remède réel et de l’associer au numérique pour voir jusqu’à quel point de réduction on peut aller ; il n’y a pas devrai risque.
Quant aux
remèdes « chroniques », favorables, pris depuis longtemps, ils ne peuvent pas être remplacés. Le patient qui prend un antidépresseur ou un antihypertenseur au long cours ne pourra pas l’arrêter ; son organisme s’est « adapté » à cette béquille thérapeutique. Serait-t-il capable de s’en passer… ?
Idem pour les stupéfiants qui engendrent une dépendance comme les benzodiazépines et autres drogues. On est cependant en droit d’espérer une réduction éventuelle de la posologie ou un espacement des prises…
Limite très sérieuse du remède numérique : seul un Pulsologue est en mesure de déterminer la bonne indication…et les
Pulsologues sont malheureusement trop peu nombreux !
Autre limite pratique : disposer d’un PC à domicile et savoir s’en servir…
Limite culturelle enfin. Beaucoup de gens préfèrent avaler une pilule en quinze secondes plutôt que de rester deux minutes devant un écran. Bien des gens préfèrent un traitement matérialisé qu’un traitement immatériel.
Perspectives d’avenir
Pour les vétérinaires
Ces praticiens pourraient être les premiers à bénéficier de ces thérapeutiques numériques, essentiellement sur le plan expérimental. Nul effet placebo ne pourrait être invoqué. L’homéopathie est d’ailleurs utilisée par un certain nombre de Vétérinaires.
Perspectives pour les Pulsologues.
L’organisme est-il en mesure de structurer une molécule réelle à partir d’une signature informative ?T elle est la question majeure. Certes, le Pr Luc Montagnier, à la suite de Jacques Benveniste, démontre qu’il est possible, à partir de l’information provenant d’un chromosome (dilué en 6DH) et à partir d’un kit de nucléotides & de polymérase PCR, de transducter, de reconstituer le chromosome réel initial source de l’enregistrement informatif…
https://www.youtube.com/watch?v=_2xInJFD23k.
Ceci nous incite à étudier les bactéries, les virus, les salives pathologiques c’est-à-dire les informations issues de substances contenant de l’ADN. Contre un agent infectieux virulent est-il possible de trouver une bactérie ou un virus Anti apte à inhiber la virulence de cet agent ? Pour le moment nous pensons que ces germes n’ont de sens qu’à l’aune du malade qui en est infecté, et c’est le tout« germe-malade » qui fait l’objet de notre attention et qui est à l’origine du site de www.soins-numerises.com .
La formation de bons praticiens.
Elle représente la perspective principale. Et rien de tel que de faire entrer en
résonance un remède réel et son homologue numérique pour prendre confiance en ses capacités tactiles et se former progressivement à la prise du pouls.
Quelques
conditions expérimentales doivent présider à cet apprentissage.
L’écran du moniteur du PC qui envoie les messages thérapeutiques doit bénéficier d’un
arrière-plan de « Labradorite ».
Avant de s’exprimer, le pouls doit se trouver en
état de « repos », si ce n’est pas le cas, le praticien doit s’exposer à la Labradorite le temps nécessaire pour que son propre pouls se calme.
Tout instrument magnétique, même de faible puissance, doit être proscrit à proximité de l’ordinateur (comme dans une salle d’examen médical).
Utilisation du Site
Enregistrements
Les enregistrements qui sont mis à disposition sont téléchargeables. J’engage les Médecins Pulsologues à les télécharger, sur leur PC. Ils devront toutefois
s’enquérir des mises à jour, des actualisations qui accompagnent la résolution de problèmes que nous rencontrons. Ils pourront ainsi constituer des dossiers et sélectionner tous les remèdes
simultanément pour faire des tests sur des ensembles.
Il est aussi vivement conseillé d’enregistrer le plus possible de substances médicinales par précaution et de
les diffuser ; tout peut tenir sur une clé USB. Nul ne peut assurer que les agences de veille sanitaire ni que l’industrie pharmaceutique resteront toujours bienveillantes le jour où les Pulsologues seront plus nombreux…
Par précaution ces enregistrements ont quitté mes mains pour être transférés vers un réseau international au mutisme séculaire.
Copie d’un médicament numérisé, le piège.
Il faut ici mettre en relief un piège. La copie d’un remède se comporte de manière négative (tel un négatif de photo des temps anciens),
la copie est un médicament en creux nuisible. Pour retrouver son efficacité originelle il faut donc faire une copie de copie ; cette double copie seule est thérapeutique comme le médicament original.
Note : au début de notre exposé « Retour aux enregistrements », nous avons déjà signalé qu’une Bande passante F se transforme en E par copie et inversement.
Aide Pratique
L’exposition à un remède nécessite quelques précisions :
1/ D’abord
que les remèdes soient bien indiqués ; les Pulsologues sont les plus aptes à le faire pour un individu donné ; malheureusement, nous le savons, ils sont rares.
Le Pulsologue se contente de
mettre en résonance une salive dépolluée (placée en sandwich) avec des listes de substances médicinales numérisées et activées. Il utilise un stylo41M² ou 41P² pour procéder au balayage des listes de remèdes.
Les médecins en général, même éclairés par la science,
hésitent souvent dans la prescription du bon remède ; ils font souvent appel aux protocoles proposés par des conférences de consensus.
2/ Nos médicaments sont édités et répartis en diverses spécialités.
Les médicaments allopathiques sont présentés sous leur nom générique.
Des médicaments naturels sont aussi proposés : Aromathérapie (HE), Gemmothérapie…
3/ Médicaments allopathiques : à n’utiliser qu’en complément de l’ordonnance du
médecin référent. Mais faut-il être sûr que ce médecin ait fait le bon choix…
4/
L’exposition thérapeutique se fait ainsi :
Cliquer sur le remède trouvé ; un Biofilm fixe du médicament apparaît ; il suffit de se placer devant pendant une minute.
La
durée d’exposition. Elle varie avec l’acuité des troubles pathologiques. Une à deux minutes suffisent souvent à neutraliser ces troubles pathologiques (et les points d’acupuncture associés) ; mais pour que l’effet thérapeutique soit durable, mieux vaut s’exposer 2 fois par jour ; à renouveler pendant cinq à dix jours.
Conclusion
Notre thème :
l’information méta biophysique émanant des médicaments le dispute aux réactions chimiques directes avec les molécules biologiques. Pour beaucoup de substances médicinales, nous pensons que l’information biophysique programme l’activité biochimique dans le processus thérapeutique. Quoi qu’il en soit la résonance qui s’établit entre un malade (sa salive) et un remède numérique témoigne bien que le remède est indiqué, que celui-ci soit administré par exposition ou par voie orale.
Ce site se voudrait pratique. Mais il est évidemment destiné d’abord aux
chercheurs Pulsologues qui travaillent sur ce thème ; il s’adresse aussi à tous les scientifiques non biologistes à l’esprit curieux toujours en éveil.
Ce site est également destiné aux
malades éclairés. En téléchargeant gratuitement des remèdes numériques (double copie), chacun pourra se faire une opinion, tout en veillant à ne pas modifier son traitement de base ni à se mettre en danger. Ce site, comme tous les autres, n’est pas responsable du mauvais usage qui en sera fait.
J-C T