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Préface

Il en va des belles découvertes comme du printemps aux sous-bois : elles adviennent en silencieuses révolutions, toujours secrètement tapies en une discrète germination. A l'indifférence des grands arbres.

Ainsi de l'origine du présent site ; il convient d'en écouter le silence habité, à l'image de celui qui transfuse l'univers et les choses. Certes difficile est cette écoute ; tel d'ailleurs l'accueil de nouveaux concepts.

L'épistémologiste nous dira que l'évolution des sciences manifeste ainsi une tendance tenace à refuser les avènements de nouveaux paradigmes, en faveur d'une réitération des vieux événements passés.

Th. Kùhn l'explique brillamment lorsqu'il décrit la structure des révolutions scientifiques.

Abritées de l'intrusion insolite (ou insolente) du nouveau, nos mentalités patentées défendent jalousement leurs idées écornées.

Que d'anathèmes injustes ne furent ils pas prononcés en leurs noms ?

En vrai fondateur de la physique quantique, Max Planck s'en consolait à peine en affirmant : « La vérité ne triomphe jamais, mais ses adversaires finissent par mourir... ». Par adversaires, entendons aussi les idées toutes faites, appelées à devenir toutes défaites.

Ainsi, proche de nous, qui a entendu l'énonciation de ce fait troublant : « dans leur fonction de signal, les molécules communiquent entres elles par des sons... ». Jacques Benveniste n'a pourtant cessé de l'évoquer dans l'hostilité entendue d'une indifférence générale. Pourtant quel chemin s'ouvre ici !

Dans cet improbable sillage, le présent site vous propose d'expérimenter par vous-même de nouvelles pistes factuelles et opératoires, sur le terrain médical des remèdes « numériques ».

Initialement biophysiques, les recherches qui suivirent ces pistes ne brûlèrent aucune des étapes de l'heuristique scientifique jointe à l'exigence rationnelle. Dans la droite ligne de Claude Bernard, leur auteur les a patiemment développées au chevet d'un patient, puis de centaines et de milliers, en une multitude de tests et de mesures, jusqu'à interroger les méthodes mêmes du diagnostic médical. L'aboutissement en sera le calibrage et la standardisation d'un instrument hors-norme d'une extrême finesse, d'une puissance informative inégalée en Physique et en Médecine : un détecteur ultrasensible, doté des plus insurpassables microprocesseurs et logiciels : L'outil pulsologique.

Utilisé dans un environnement parfaitement contrôlé, il permet de soulever un pan du voile qui recouvre le réel, comme jadis le télescope avait instruit l'astronomie, ou l'accélérateur de particules, la physique. Ne croyez pas ici à une quelconque exagération artificielle de son importance. Dérivé de plusieurs millénaires de prise des pouls chinois (statiques), puis d'un demi-siècle d'études du pouls dynamique capté sur l'artère radiale du poignet (RAC/VAS de Paul Nogier), cet outil sollicite le corps même du médecin et son expertise cérébrale et sensorielle affinée à l'extrême.

Equipée de cette exceptionnelle et rare maîtrise, la recherche un jour a croisé les découvertes de Jacques Benveniste et de Luc Montagnier en Biologie Numérique.

Le génie d'un médecin unique a fait le reste. En quelques mois vont se trouver intégrées les données et les conséquences de multiples travaux d'origines diverses : Biologie numérique donc, Homéopathie, diagnostic numérique, tests de remèdes classées en familles de compatibilité, théorie des champs de torsion ...Les moindres détails vont s'opérationnaliser dans une méthode cohérente et intégrée de diagnostic et de traitement.

Et jusqu'à vous la rendre gratuitement accessible. Car le vraie recherche appartient à la nature de l'air pur : chacun en vit et nul n'a droit de s'en arroger la possession payante...


Mais venons-en aux faits.

Imaginez que l'on couple le puissant diagnostic pulsologique à l'utilisation des champs de pression émis par les molécules et des champs scalaires associés ; puis que l'on attaque sous contrôle les pathologies en annulant leur configuration informationnelle – par exemple en inversant leur spectre spécifique, en particulier sonore.

Nous obtenons alors un nouveau moyen de dialoguer avec l'organisation vivante biophysique, dés l'instant où désormais nous parlons dans sa langue.

En résulte une nouvelle génération de remèdes, non exclusifs mais complémentaires à l'arsenal existant ; remèdes qui plus est prescriptibles, sous un rigoureux diagnostic lui-même novateur.



A nouveaux concepts, nouveau vocabulaire signifiant.

L'actuel préfacier répugne habituellement à l'usage des néologismes, mais parfois ils possèdent l'avantage de nous sortir des chréodes du langage habituel et du prêt-à-penser.


Pour désigner ces remèdes d'un nouveau genre, et après avoir quelque peu théorisé leur nature réelle, nous utiliserons provisoirement « antésons » et « inversons ».

Le préfixe anté désigne l'idée, non d'antériorité dans le temps mais d'antériorité dans la structure : les antésons représentent des matrices spatiales situées en amont des sons. Il s'agit donc de champs, de propriétés de l'espace.

Les inversons parlent d'eux-mêmes : ils désignent le format inverti des antésons

Comprenons-bien qu'il ne s'agit pas d'ondes sonores, mais qu'ils pourront le devenir en passant par une transduction, qu'elle soit électromagnétique, photonique, phonique ou autre.

Métaphoriquement, nous pourrions dire que la transduction des antésons produit les sons, comme l'acte de parole fait émerger l'idée cachée dans le silence.



Concrètement, les antésons et les inversons constituent des fichiers relativement silencieux, offerts sous format numérique lisible sur ordinateur par n'importe quel logiciel multimédia.

Mais structurellement, ils représentent la mémorisation d'une structure de champ, celle de la configuration informationnelle spécifique des substances propre aux remèdes mobilisés. Ou plutôt devrions-nous dire, celle de l'espace imprimé qui entoure ces substances. Nous n'en dirons pas beaucoup plus ici.

Prenons toutefois une dernière image, en vue de nous familiariser avec eux.

Les antésons fonctionnent comme les signifiés d'un langage, qui sont à la fois une réalité interne et conceptuelle ; le résultat de leur transduction, comme les signifiants.

Antésons et inversons appartiennent donc à l'univers des champs informationnels, situés en amont de la réalité visible formelle.

Leur définition physique pourrait se faire en énonçant d'abord ce qu'ils ne sont pas : non hertziens initialement, et non électromagnétiques. Ils se propagent de manière non transversale. Dissimulés sous les champs électromagnétiques, ils les accompagnent, en pouvant s'en dissocier. A l’inverse, les champs EM en sont toujours porteurs. Ils sont de la famille des champs de torsion, champs que l'académicien N. Kozyrev a mis en évidence en physique soviétique, puis russe.

Ils répondent aux lois de la résonance.

Pour le médecin auteur de ce site, il conviendrait de qualifier de « métabiophysiques » le plan informationnel d'où ils dérivent.

La détection de ce domaine MBP exige une rare expertise pulsologique. Car actuellement, seule la réponse dynamique du pouls radial détecte leur mise en résonance avec les champs de l'organisme vivant.

Résonance : voilà prononcé une nouvelle fois le mot-clé qui ouvre la porte à leur mode d'utilisation.

Le champ des antésons est aussi le chant des antésons.

Leur mélodie résonne au plus intime de nos cellules, lorsqu'elles y répondent en écho par correspondance sélective.

Si « l'âme est une symphonie », comme le pouvait écrire en clairvoyante Ste Hildegarde de Bingen, l'organisme quant à lui se fait assurément orchestre et son jeu sera amplifié ou modulé par les « antésons » et « inversons » qui l'entourent.

Cela vous parait-il hirsute et insane ? Peut-être le présent site vous dissuadera de continuer dans cette voie.

Mais à celles et ceux qui voudront bien expérimenter et tester ces nouveaux outils d'investigation et de thérapeutique, avec rigueur et objectivité, il s'ouvrira une ère nouvelle autant qu'une évolution conceptuelle progressive...

De quoi sortir la réflexion biologique des ornières du tout moléculaire...


Gehrard v. Gartenlein,

Dr de l'EHESS, Universitaire européen, Sciences de l'Homme et de la Vie